LEJEUNE Louis François, baron, 1775-1848, général, peintre et mémorialiste

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Né en 1775, Louis-François Lejeune, acteur héroïque de l'épopée napoléonienne, blessé maintes fois aux combats, a laissé des souvenirs précis de ses campagnes : des mémoires fameux et de nombreuses toiles représentant les grande batailles comme celle des Pyramides ou Marengo.

Louis François Lejeune est né à Strasbourg, le 3 février 1775.

Ses parents étaient originaires de Versailles, où ils s'étaient mariés le 11 avril 1774. Son père, Jacques Lejeune, était alors chef d'office du maréchal de Contades (1704-1796), commandant en chef de Haute et Basse Alsace. Durant ces années alsaciennes, le jeune Louis François apprend l'allemand, il est déjà fasciné par les jeunes officiers de la garnison et son père l'initie à la peinture. En effet, celui-ci avait le goût de la culture et des arts puisqu'il était à la fois littérateur, grammairien, sculpteur, musicien, dessinateur et peintre.

En mai 1788, Contades est nommé gouverneur général de la Lorraine. Les Lejeune ne le suivent pas, ils reviennent à Versailles et s'installent à Paris. Ils font étudier le dessin et la peinture à leurs fils, dans l'atelier du paysagiste Pierre Henri Valenciennes (1750-1819, un admirateur de Poussin), installé au Louvre, et il est admis à l'École royale le 3 mars 1789.

À 17 ans, le 1er juillet 1792, il s’engage dans la Compagnie des Arts,

composée d'étudiants parisiens (Lettres, Sciences, Droit, Médecine et Beaux-Arts). Très rapidement, il est nommé sous-lieutenant, grâce à sa solide instruction. Il participe, comme lieutenant, aux campagnes de l'armée du Nord (1792-1793), puis de Sambre et Meuse (1794), aux cours desquelles il est blessé deux fois. Partout, le spectacle qui l'entoure l'intéresse autant que l'action à mener ; au coeur de la bataille, il pense à l'épisode que ses pinceaux vont retracer (Valérie Bajou).
En janvier 1795, il passe dans le génie et recommence sa carrière dans ce corps lors des opérations sur le Rhin (Düsseldorf, Bamberg, Cologne, 1795-1797).

Employé au Comité des fortifications, à Paris (1798), il est nommé lieutenant du génie (14 mars 1800), puis aide de camp de Berthier, un autre Versaillais, à l'armée de réserve. Après Marengo, il est promu capitaine du génie. Il restera, comme aide de camp, auprès du major général de l'Armée jusqu'en 1812.

Les aides de camp constituaient une élite enviée, généreusement récompensée, mais employée sans ménagements et payant largement de leur personne (colonel B. Druène).

Au physique, Lejeune est un solide gaillard, haut de six pieds (1,944 m) et qui jouit d'une santé de fer. Il parle plusieurs langues et remplit, toujours avec bravoure, les missions qui lui sont confiées.

Plus tard, il dessinera le somptueux uniforme, à la hongroise, des aides de camp de Berthier : culotte rouge, dolman blanc, pelisse noire, shako de drap écarlate, ceinture en soie noire et or, tous les ornements sont or (y compris la fourragère, privilège de la Garde, que le major général obtint de l'Empereur, pour ses propres aides de camp) (1).

Lejeune accompagne Berthier au camp de Boulogne et à la Grande Armée en 1805

Il est à Austerlitz. Promu chef de bataillon du génie, le 26 décembre 1805, il visite, à Munich, les frères Senefelder, qui viennent d'inventer le procédé lithographique (il sera l'un des artisans de son introduction en France). Il est à Iéna, Friedland, Dantzig et Tilsit.
À Osterode (hiver 1806-1807), Napoléon le charge de dessiner le nouvel uniforme des lanciers, celui des gardes-aigles ainsi que la décoration de l'ordre impérial des Trois Toisons d'or que l'Empereur envisageait d'instituer (voir Cl. Ducourtial, Dictionnaire Napoléon, p. 1658).

En 1808, en Espagne, Lejeune se bat à Somosierra, entre à Madrid et se distingue au siège de Saragosse, où il est blessé.

Nommé colonel du génie, le 10 mars 1809, il suit Berthier à Eckmühl, Vienne, Essling (après cette bataille, il porte, en pleine nuit, aux maréchaux Masséna et Bessières, l'ordre de la retraite sur l'île de Lobau), à Wagram.
 
Entre les campagnes, Lejeune participe aux brillantes réceptions que donne Berthier, soit dans son hôtel à Paris, 43, boulevard des Capucines (2e arrondissement) (démoli en 1855), soit dans son château de Grobois, à Boissy-Saint-Léger (Val-de-Marne).

En 1810, il repart pour Vienne comme membre de l'ambassade auprès de l'empereur d'Autriche pour le mariage de l'archiduchesse Marie-Louise. De retour, pour porter des messages avant l'arrivée de Marie-Louise, Napoléon l'interroge, à Compiègne, sur l'esquisse qu'il a dessinée de la future impératrice.

Peu après, Lejeune est fait baron de l'Empire, par lettres patentes du 6 octobre 1810. Il était donataire de revenus en Westphalie et sur Rome.

Le 15 février 1811, Napoléon l'envoie en Espagne, pour porter des messages et recueillir des informations en lui disant : « Faites que je croie avoir vu lorsque je vous aurai parlé ». Il visite Madrid, Grenade, Cordoue, Séville, Cadix et engrange les informations, mais sur le chemin du retour, le 6 avril 1811, il est fait prisonnier près de Tolède par les guérilleros. Blessé, il échappe miraculeusement à la mort ; prisonnier à Cadix, puis en Angleterre, il réussit à s'évader et se présente, le 1er août 1811, au maréchal prince de Wagram.

Lors de son internement, à Portsmouth, il avait rédigé son rapport de mission et réussi à le faire passer en France, où l'Empereur avait pu le lire le 23 juin 1811 (voir le texte : RSN n° 301, p. 23).

Ensuite, c’est la campagne de Russie, La Moskowa (Borodino).

Le 10 septembre 1812, il est nommé chef d'état-major du 1er corps (maréchal Davout). Treize jours après, il est général de brigade. Lors de la retraite, il rentre à Paris sans autorisation et, pour cela, se retrouve aux arrêts de forteresse, à la prison de l'Abbaye (février 1813). Libéré, il est affecté, le 4 mai 1813, comme chef d'état-major du 12e corps (maréchal Oudinot). Commandant une brigade de la 13e division (Guilleminot) au 4e corps (sous Bertrand), il est sérieusement blessé à Hanau (30 octobre 1813) et admis à la retraite (21 novembre 1813), avec une pension de 2 000 francs (18 janvier 1814).

La Restauration le remet en activité et l'emploie dans des fonctions d'état-major ;
la Monarchie de Juillet lui donne un commandement dans la 10e région militaire (Toulouse). En 1837, il quitte définitivement le service actif, sans avoir obtenu le grade de lieutenant général qu'il désirait tant.

Le nom du général Lejeune est inscrit au côté Est de l'Arc de triomphe de l'Étoile.
Ses décorations : Légion d'honneur (chevalier), officier (1813), commandeur (1823), grand officier (1841) ; chevalier de Saint-Louis (14 novembre 1814) ; grand croix de l'ordre de l'Épée de Suède (1824).

Son œuvre

Au Salon de 1798, il expose sa première toile : Mort du général Marceau, le 20 septembre 1796 (coll. part., voir RSN n° 302, p. 3), d'une sensibilité déjà romantique (Lejeune se trouvait près de lui lorsqu'il tomba mortellement blessé dans les bois d'Altenkirchen, sur les bords du Rhin) et au Salon de 1800 : Vue d'après nature du siège et de l'embrasement de Charleroi, le 25 juin 1794 (Versailles, direction du génie, voir RSN n° 436, p. 9 et la reproduction en couleurs sur la première de couverture).

Au Salon de 1802, après la seconde campagne d'Italie : La bataille de Marengo, 14 juin 1800 (180 x 250 cm, Musée national du château de Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, Belfond, 1991, pp. 49-50 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 6, pp. 102-103). À gauche, au premier plan, Bonaparte arrive, suivi par ses officiers et les généraux. Au second plan, à gauche, Desaix, frappé en pleine poitrine, tombe de cheval. En bas, à droite, le lieutenant Lejeune, à cheval et de trois-quarts.

Au Salon de 1804, trois oeuvres représentant des batailles auxquelles Lejeune n'avait pas participé : 1) La bataille du pont de Lodi, 10 mai 1796, dans un clair-obscur romantique (185 x 240 cm, Versailles, Histoire de Napoléon par la peinture, p. 22) ; 2) La bataille du Mont Thabor, 16 avril 1799, qui valut à Lejeune une médaille d'or (Versailles ; voir Revue Napoléon Ier, n° 15, p. 40 ; Dictionnaire Napoléon, p. 1195 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 2, pp. 40-41). Selon Vivant-Denon, ce tableau « fait époque dans le talent de Lejeune. Il y a pris le caractère d'artiste, tandis que dans les autres tableaux, il n'avait eu que celui d'un officier qui avait joint du talent au courage » ; 3) La bataille d'Aboukir, 25 juillet 1999 (Versailles ; voir É. Ledru, Napoléon le conquérant prophétique, 1995, pp. 48-49 ; Revue Napoléon Ier, n° 15, p. 42 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 2, pp. 44-45 et t. 8, p. 98) (2).

Au Salon de 1806 : La bataille des Pyramides, 21 juillet 1798, célèbre par le mot légendaire de Bonaparte : « Soldats, du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent ! » (180 x 258 cm, Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, pp. 30-31 ; Dictionnaire Napoléon, pages centrales en couleurs ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 2, pp. 30-31). Les troupes formées en carrés et l'artillerie françaises mettent en déroute la cavalerie des Mamelouks.

Au Salon de 1808, une oeuvre commandée par Napoléon, pour la galerie de Diane, aux Tuileries : Le bivouac de Napoléon à la veille d'Austerlitz, 1er décembre 1805 (180 x 20 cm ,Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, pp. 88-89 ; Dictionnaire Napoléon, pages centrales en couleurs ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 7, pp. 18-19 et t. 6, p. 75, détail central). Napoléon passe la nuit dans sa calèche, sous la protection de la Garde. L'Empereur est au centre du tableau, il se réchauffe devant un feu et interroge des paysans moraves et des déserteurs. Le capitaine Lejeune, vu de dos, le chapeau à la main, sert d'interprète. Derrière l'Empereur, Berthier et Bessières suivent la scène, tandis que Roustan, en retrait, étend une fourrure sur un peu de paille. Au Salon, cette toile fut un succès éclatant. Aujourd'hui, c'est la plus connue des oeuvres du peintre.
 
En 1809, Lejeune demeure 25, rue Saint-Dominique, il reçoit les conseils de David et il est lié d'amitié avec François Gérard, le portraitiste à la mode (voir RSN n° 406).

Au Salon de 1810, il expose La bataille de Somosierra, 30 novembre 1808 (210 x
262 cm, Versailles, voir Histoire de Napoléon par la peinture, p. 202 ; Dictionnaire Napoléon, p. 1136). Lejeune retrace la bataille au moment où les lanciers polonais, en rang serrés, s'apprêtent à forcer le défilé ! Au centre, l'Empereur, à cheval, reçoit la reddition d'officiers espagnols agenouillés, il leur reproche leur cruauté envers les prisonniers français. En bas, à droite, Henry de Turenne, officier d'ordonnance et le docteur Yvan, chirurgien de l'Empereur, soignent Philippe Paul de Ségur, blessé. Lejeune a peint cette toile en 147 jours. L'accueil par le public et la critique furent extrêmement favorables. Napoléon fit acheter le tableau.

Au Salon de 1817, Le combat de Guisando, passage du col d'Avis, 11 avril 1811 (Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, p. 238 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 10, pp. 72-73). Des guérilleros espagnols, après une embuscade réussie, capturent un courrier français et son escorte. Au centre de la toile, le colonel Lejeune, dépouillé de son uniforme, est fait prisonnier.

Au Salon de 1819 : Attaque du grand convoi, près de Salines en Biscaye, le 25 mai 1812 (213 x 265 cm, Versailles ; Histoire de Napoléon par la peinture, p. 239 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 10, pp. 82-83).

Au Salon de 1824, 3 oeuvres : 1) Bataille de Chiclana, 5 mars 1811 (210 x 252 cm, Versailles ; Histoire de Napoléon par la peinture, p. 238 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 10, pp. 78-79). Lejeune représente le combat à la baïonnette entre les troupes anglaise et française. Au premier plan, la vivandière Catherine Baland offre de l'eau de vie aux soldats. Au second plan, le maréchal Victor, duc de Bellune et son aide de camp ; 2) Le passage du Rhin, près de Düsseldorf, 6 septembre 1795 (Versailles ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 6, pp. 10-11). Un pont de bateaux, sur la gauche, permettra à l'armée de passer tout entière. Au centre, Jourdan consulte une carte au milieu de son état-major. À gauche, Kléber, au chapeau empanaché, donne ses ordres au lieutenant Lejeune ; 3) La bataille de la Moskowa (Borodino), 7 septembre 1812 (210 x 243 cm, Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, pp. 240-241, détails pp. 242-243 ; Dictionnaire Napoléon, pages centrales en couleurs ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 10, pp. 28-29). Cette toile est remarquable, tout d'abord, par l'absence du maître, l'Empereur (nous sommes en 1824). Lejeune situe l'action lors de l'attaque de la Grande Redoute par le général Caulaincourt, monté sur un cheval blanc. En outre, l'artiste réunit plusieurs scènes très éloignées dans l'espace et le temps : à gauche, le prince Eugène de Beauharnais au milieu d'un régiment français ; ensuite, Murat, qui commandait la cavalerie, avec le général Belliard ; plus à droite, le maréchal Berthier rend son épée au général russe Sokoreff, fait prisonnier ; au premier plan, trois scènes, de gauche à droite : 1) Larrey, chirurgien en chef, panse la blessure (mâchoire fracassée) du général Morand, dont le frère (Léopold, chef de bataillon au 17e de ligne) meurt à ses côtés : 2) Le comte Lariboisière assiste, désolé, à la mort de son fils, mortellement blessé, alors que son frère lui apporte la croix de la Légion d'honneur décernée par l'Empereur (voir RSN n° 439, p. 64) ; 3) Un soldat, chargé de la garde de prisonniers russes, pousse du pied, dans un trou d'eau un obus qui vient de tomber. Retenons une critique des spécialistes : Lejeune, dans ce tableau, exagère l'importance du relief.

Enfin, au Salon de 1827, il expose L'assaut du monastère de San Engracia, à Saragosse, le 8 février 1809 (150 x 128 cm, Versailles ; voir Histoire de Napoléon par la peinture, p. 205 ; Napoléon, Rencontre, 1969, t. 10, p. 70). Ici, Lejeune entend rappeler le caractère terrible de la guerre d'Espagne. De part et d'autre d'une Mater dolorosa, les Français sont à l'assaut, contre des guérilleros et des moines espagnols fanatisés.

Selon Vandal, « Lejeune est un peintre de talent possédant à un degré rare le don du coloris et composant ses descriptions avec une minutie d'artiste ». En outre, il sait fort bien, puisqu'il est militaire, camper l'environnement et l'action des soldats. Peintre de l'épopée, il le fut avec la vision d'un soldat. On a aussi remarqué que « l'harmonieuse perfection du dessin, une couleur plus riche et la grande et magistrale virtuosité technique seront les marques des toutes dernières oeuvres exécutées après l'Empire » (Charles-Otto Zieseniss).

On peut établir un rapprochement entre la carrière et l'oeuvre de Lejeune et celles du colonel Langlois (1789-1870), sauf à remarquer que ce dernier est allé au-delà de la peinture classique puisqu'il a été le créateur des fameux panoramas (3).

La fin de sa vie

En 1837, après sa mise à la retraite, Lejeune prend la direction de l'École des Beaux-Arts de Toulouse et devient maire de la ville en 1841. Il meurt le 26 février 1848, à 73 ans, 17, rue Bellegarde, à Toulouse, à la suite d'une crise cardiaque (Répertoire mondial des souvenirs napoléoniens, p. 113). La ville lui fit des obsèques solennelles, en la cathédrale Saint-Sernin. Six cents hommes de troupe firent la haie. D'abord inhumé à Toulouse, au cimetière de Terre-Cabade, il repose aujourd'hui, depuis 1867, à Paris, au cimetière du Père-Lachaise, 33e division (chapelle, 1re ligne, face à la 36e division : Répertoire mondial…, p. 305).

Ses Mémoires, publiés en 1851, sur la campagne de 1809, l'Espagne et la Russie, sont vivants, bien écrits, mais, comme ceux de Marbot, dont ils sont proches par le ton et le rythme, ils appellent quelques réserves (Jacques Jourquin).

Il avait épousé, le 8 septembre 1821, Louise Amable Clary (5 janvier 1796-8 janvier 1875), nièce des reines Julie et Désirée Clary (voir RSN n° 290, p. 28). Leur fils, Joseph Désiré Charles Edgar, baron Lejeune (1826-1867), fut écuyer de Napoléon III, dont postérité (4).

Marc Allégret
Revue du souvenir Napoléonien n°447
Juin-juillet 2003
Pp.65-66


 
 
Cette biographie fait partie du dossier thématique  : Louis-François Lejeune (1775-1848) général, peintre et mémorialiste

Notes :

(1) Voir Tradition Magazine n° 190, juin 2003, planche Rigo n° 85 ; planche Hourtoulle n° 39 : l'Empereur en campagne devant sa tente. Berthier, assis devant une petite table, rédige un ordre ; à côté de lui, l'un de ses aides de camp.
(2) Au début de 1806, au Palais des Tuileries, quatre toiles de Lejeune sont exposées dans le salon des maréchaux : Lodi, Mont-Thabor, Aboukir et Marengo.
(3) Sur le colonel Langlois, voir l'intéressante analyse de Philippe Vidal, « Le colonel Charles Langlois, officier, peintre et panoramiste » (RSN n° 431, p. 29) ; Revue de l'Institut Napoléon, n° 175, p. 80.
(4) Sources : Michaud, Biographie universelle, tome 24, p. 43 ; Dictionnaire Napoléon, notice Jacques Jourquin, p. 1063 ; Charles-Otto Zieseniss, « Le général Lejeune », RSN n° 262, p. 10 ; général du Temple de Rougemont, « Lejeune, témoin et peintre de l'épopée », RSN n° 301 et 302 ; Valérie Bajou, « Les débuts d'un général-peintre, Louis François Lejeune », RSN n° 436, p. 3 ; E. Bénézit, Dictionnaire des peintres, Gründ, 1999, tome 8, p. 470 ; B. Druène, « Le général Lejeune, peintre militaire », Miroir de l'Histoire n° 158, février 1963, p. 252 ; G. Six, Dictionnaire des généraux et amiraux de la Révolution et de l'Empire, tome 3, p. 94 ; Jean-Pierre Tarin, Les notabilités du Premier Empire, leurs résidences en Ile-de-France, C. Terana, éditeur, 2002, tome 1, rubrique Berthier, pp. 131 à 138.

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