Il faut recueillir l’information, la trier, choisir, mettre en forme et « traiter » dans l’esprit de cette lettre qui se veut à la fois instructive et distrayante. On doit aussi donner sa ration à Valérie (Durand) à Rebecca (Young) et à Peter (Hicks), soit pour les réseaux sociaux , soit pour la lettre anglophone qui paraît tous les quinze jours en direction de 2 782 abonnés supplémentaires.
Mais être au cœur des flux d’information n’est pas suffisant. Il faut avoir lu les livres que l’on conseille, demander des informations complémentaires, chercher des photos, parfois courir après un chroniqueur en retard.
Bref, de quoi être bien occupé entre deux publications.
À la baguette, Irène, chef de notre service «Documentation et communication numérique ». Elle est responsable de tous les contenus que nous diffusons « électroniquement ». Elle est aux commandes de cette lettre depuis son premier numéro et connaît son affaire. Premier violon, Marie, qui propose, choisit, peaufine, réalise. Le second violon, en principe solo, Valérie rejoint parfois le petit orchestre pour quelques notes, ayant déjà pas mal à s’occuper avec les posts, gazouillis et autres petites choses qui arrivent sur vos écrans. D’autres cordes (à son arc) jouent encore : le reste de l’orchestre, c’est-à-dire toute l’équipe de la Fondation, qui a le droit de proposer et de réaliser aussi.
Et, parfois, nous faisons appel à des intervenants extérieurs pour une prestation de chronique. Merci à Laurent Theis, Patrice Gueniffey, Charles-Eloi Vial, Éric Anceau, Jacques Macé, Juliette Glikman, Arnaud Teyssier, Cyril de Pins, Eric Teyssier, Frédéric Lemaire, d’avoir accepté de renforcer l’attrait de cette lettre tout au long de l’année.
À vous, à eux, nous souhaitons de très bonnes vacances.
Envoyez-nous des cartes postales.
Thierry Lentz
Juillet 2019
Thierry Lentz est historien et directeur de la Fondation Napoléon.