Pour les blessés, la première étape vers la guérison, avant même qu'interviennent les chirurgiens (Percy, Larrey, Heurteloup ou Briot), est leur ramassage et leur acheminement vers l'ambulance, mouvement en opposition avec la gestion de la bataille telle que la concevait Napoléon, c'est-à-dire fondée sur une maîtrise du terrain que rien ne doit venir entraver. Napoléon Ier.
Magazine du Consulat et de l'Empire, n° 2, mai-juin 2000, Jean-François Lemaire, p. 35-37.