Napoléon Ier, le magazine du Consulat et de l’Empire, n° 24, janvier-février 2004 : jeu d’échecs ; faubourg Saint-Germain Paris ; Ire campagne Italie (1) ; 8e rég. cuirassiers ; maréchal Moncey ; David ; Fondation Napoléon, baron Gourgaud

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Ce numéro 24 vous propose :

Vie de Napoléon. Stratège du jeu d'échecs, par Thierry Libaert, p. 6-11
Trois parties jouées par Napoléon (la première contre Mme de Rémusat, la deuxième contre l'automate, la dernière contre le général Bertrand) sont souvent présentées dans les ouvrages d'échecs.

Témoignages. Le faubourg Saint-Germain, présenté par Alfred Fierro, p. 12-13
De 1810 à 1817, Victorine de Chastenay (1771-1855) a rédigé des Mémoires d'un grand intérêt. Amie intime de Joséphine de Beauharnais, correspondante de Réal, proche du ministre Fouché, elle a fréquenté les salons de l'aristocratie du faubourg Saint-Germain.

La guerre. La Première campagne d'Italie. 1 : l'entrée en scène de Bonaparte (11 mars – 28 avril 1796), par Jacques-Olivier Boudon, Jacques Garnier, p. 14-27
C'est en Italie que Bonaparte commança à construire sa légende et posa les bases de sa carrière. mais quelles furent les raisons du Directoire d'envoyer ce jeune général intrépide en Italie ?

– Historique de régiments. Le 8e régiment de cuirassiers, par Vincent Rolin, p. 28-35
Parmi les régiments de cavalerie lourde de l'Empereur , le 8e cuirassiers occupe une place particulière puisqu'il est le plus ancien corps cuirassé. Ces cavaliers d'élite se couvrirent de gloire à Wagram, La Moskowa et Waterloo.
 
– Personnages illustres. Moncey, le maréchal « honnête homme », par Jacques Jourquin, p. 36-45
Né quelques jours avant Louis XVI, ce fils d'avocat voulut être militaire et refusa d'entrer en politique. le maréchal Moncey (1754-1842), qui ne fut pas un courtisan, résussit à servir tous les régimes sans jamais renier un serment.

– Les moyens de la guerre. Le retour de la lance dans la cavalerie napoléonienne, par Henri Roche, p. 46-51
La lance, instrument antique, fait son apparition tardivement dans l'armée impériale. A partir de 1810, elle arme certains des plus élégants régiments de la cavalerie française qui ne tardent pas à rivaliser avec les cosaques russes ou les Uhlans autrichiens.

– La France napoléonienne. Napoléon et le vin de Bourgogne, par Vincent Bourgeot, Jacques Garnier, p. 52-55
Napoléon ne buvait, dit-on, que du Chambertin. Il en aurait emporté jusqu'en Russie, et nombre d'oenophiles du XIXe siècle, voire du début du XXe, se sont fait une certaine notoriété en affirmant avoir bu du Chambertin « retour de Russie ». Qu'en était-il donc réellement ?

Arts et artistes. Les académies de David, par David Chanteranne, p. 56-57
En adaptant son art tout de pureté et d'austérité à une société impériale qui ne réclamait que douceur et volupté, Jacques-Louis David (1748-1825) favorisa l'émergence d'un nouveau code esthétique, résolument moderne.

Lieux napoléoniens. La Fondation Napoléon, entretien avec le baron Gourgaud, président, p. 56-59
Institution incontournable depuis sa création en 1987, la Fondation Napoléon insuffle un grand dynamisme aux activités et aux projets liés aux bicentenaires napoléoniens. Historique, objectifs, services et réalisations : autant de questions posées par la rédaction de Napoléon Ier.

Ventes aux enchères, par Karine Huguenaud, p. 60-61
La multiplication des ventes liées à l'Empire permet d'offrir des peuvres de belle qualité aux collectionneurs les plus exigeants. Riche de vacations aux programmes variés, cet automne a comblé les attentes des amateurs napoléoniens.


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