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Table et chaise de l’ancienne auberge où déjeuna Bonaparte le 20 mai 1800sur la route du col du Grand-Saint-Bernard. Il reçut ici le guide Dorsaz et à partir de là pousuivit la route sur une mule de montagne. Les portraits au mur sont ceux des propriétaires de l’époque, A.N. Moret et son épouse. Image suivante

C'est par le col du Grand-Saint-Bernard et celui du Simplon que le centre de l'armée de Réserve rejoignit l'Italie avec Bonaparte. Moncey devait passer par le Saint-Gothard, tandis que Chabran empruntait le Petit-Saint-Bernard et Turreau le Mont-Cenis. Image suivanteImage précédente

Réalisée d’après François Louis Couché (1782-1849), cette gravure montre Moreau au premier plan entouré de son état-major.

Bonaparte s'arrêta quelques heures à l'hospice le 20 mai 1800. Il y rencontra le prieur du couvent du mont Saint-Bernard, le père Berenfaller, qui lui proposa un repas dans la grande salle de réception. Les moines distribuèrent des vivres aux troupes françaises. Image suivanteImage précédente

Cette image d'Epinal s'inspire du tableau immense de Charles Thévenin (1764-1838), Le passage du Grand-Saint-Bernard par l'armée française, 20 mai 1800, commandé en 1800 et exposé au Salon de 1806 (Versailles). Thévenin s'était inspiré de dessins d'après nature montrant les efforts déployés par l'armée de Réserve pour traverser les Alpes. Bonaparte, entouré de Duroc et […]

Lors de la refonte de l’artillerie par le marquis de Gribeauval, aucun système de tractation des canons en montagne n’avait été prévu. Le général Marescot fit réaliser par les soldats du génie des troncs d’arbres évidés formant traîneaux ou affûts montés sur des roues pleines. Image suivanteImage précédente

En raison de la fumée des combats, personne ne verra tomber le général Desaix frappé d'une balle en plein coeur au commencement de la charge la 9e demi-brigade légère. Son corps ne sera retrouvé qu'à la nuit tombée, entièrement dévêtu par les pillards de cadavres. Seuls ses cheveux longs permettront de l'identifier. Son corps fut […]

Cette gravure fut réalisée en 1802 d'après un dessin d' »un officier de l'état-major », vraissemblablement Lejeune lui-même. Inversée et simplifiée, elle reprend en effet la composition du grand tableau de Versailles, La Bataille de Marengo.  Descripteurs: scène militaire, champ de bataille, combats, armées, soldats, chevaux, Autrichiens, Bonaparte, Desaix, Kellermann. Image suivanteImage précédente

Le percement de l'isthme de Suez fut réalisé de 1859 à 1869.Le fonds photographique d'Hippolyte Arnoux a été déposé par l'Association du Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du canal de Suez aux Archives nationales (voir le hors-série L'isthme de Suez, l'union des deux mers).  Technique :tirage sur papier albuminé d'après négatif sur plaque de […]

Le percement de l'isthme de Suez fut réalisé de 1859 à 1869.Le fond photographique d'Hippolyte Arnoux a été déposé par l'Association du Souvenir de Ferdinand de Lesseps et du Canal de Suez aux Archives nationales.   Technique :tirage sur papier albuminé d'après négatif sur plaque de verre Sujets :Canal de Suez (Egypte), Ferdinand de LESSEPS (1805-1894)