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Lettre d'information  
        
   
    SAUVER LA MAISON DE L'EMPEREUR A SAINTE-HELENE : QUELQUES PRECISIONS
Nombreux sont ceux d'entre vous qui ont immédiatement répondu présent à notre appel pour « Sauver la Maison de Napoléon Ier à Sainte-Hélène ». Une cinquantaine de dons, pour un montant dépassant légèrement les 10 000 euros, nous sont parvenus en quatre jours, ce qui est un résultat qui nous remplit d'espoir. Merci à ces premiers contributeurs et… bienvenue à ceux qui n'ont pas encore contribué.
Compte tenu des enjeux et de la somme globale à réunir, il faut évidemment continuer. Continuer à donner. Continuer à soutenir l'opération. Continuer à la faire connaître autour de vous pour que les petites rivières forment un grand fleuve.
A ce sujet, plusieurs d'entre vous résidant hors de France nous ont questionnés sur les modalités internationales de notre souscription.
Celles-ci sont en cours de finalisation.
En effet, afin que les donateurs ne payant pas leurs impôts en France puissent bénéficier des avantages fiscaux du pays où ils paient leurs impôts, nous devons être habilités par des fondations étrangères. Ces habilitations transitent par la Fondation de France qui se charge d'obtenir l'accord dans les pays concernés. Cette démarche est en cours et aboutira d'ici à la fin du mois de janvier. Nous ne manquerons pas alors de donner le « top » à nos amis francophones et anglophones contribuables hors de France.
Quant à ceux qui veulent procéder par virement, les coordonnées bancaires de la Fondation Napoléon peuvent leur être communiquées individuellement. Il suffit pour cela de s'adresser par courrier ou par courriel à M. Pierre Branda (branda@napoleon.org).
Le « challenge » que nous relevons pour sauver Longwood est celui de tous les Napoléoniens et de tous les amoureux du patrimoine historique national.
Nous avons besoin de vous.
 
Thierry Lentz
Directeur de la Fondation Napoléon


  
   
L'ARTICLE DU MOIS > LE SALON DE 1810
Le 5 novembre 1810, le Salon ouvrait ses portes au musée du Louvre pour une durée de cinq mois. Organisée depuis 1736 tous les ans et ensuite tous les deux ans, cette exposition était alors l'événement le plus marquant de la vie artistique européenne… David Mandrella, du musée Vivenel, nous dresse un tableau de ce salon qui fut « Au service de l'Empereur ».
Pour en savoir plus

L'article de Céline Gautier revient sur le portrait de Chateaubriand par Girodet, présenté au Salon de 1810.
 
A découvrir l'Article du mois de la partie anglaise : "General Baron Gaspard Gourgaud: A Survivor of St. Helena", de Peter Friedman


  
   
NAPOLEONICA. LA REVUE N°8
Ce 8e numéro de Napoleonica La Revue propose un article d'Emmanuel de Waresquiel sur  « Talleyrand, homme des Lumières (1754-1838) ». Talleyrand personnifie en effet, par son éducation, sa pensée, son esprit et jusque dans son style, les Lumières, jusqu'à sa mort en 1838. L'article de Peter Hicks, consacré à « Joseph Bonaparte and the “Réunion de famille” of 1832-33 »  étudie la correspondance de Joseph, conservée au Museo Napoleonico de Rome, et le journal de Louis Mailliard, son secrétaire, consultable à la Yale University Library, New Haven, et révèle l'importance de l'action politique de Joseph sous Louis-Philippe.



  
   
REVUE DE PRESSE > LA REVUE DU SOUVENIR NAPOLEONIEN N°485
Ce nouveau numéro consacre son dossier Bicentenaire sur la fin de l'année de 1810, moment de bilan pour Napoléon, jeune marié et bientôt père. Après le temps de la guerre semble venu un temps plus clément durant lequel il mesure toute sa popularité, notamment au Salon de 1810…
Pour connaître le sommaire complet du numéro 485

 
OPERATION SAINTE-HELENE > SAUVEZ LA MAISON DE L'EMPEREUR
La Fondation Napoléon et le Souvenir napoléonien s'associent, en partenariat avec le ministère des Affaires étrangères, afin d'entreprendre un grand projet de restauration de la Maison de l'Empereur à Sainte-Hélène, où il mourut le 5 mai 1821, et qui est aujourd'hui en péril. Vous pouvez participer au sauvetage de ce lieu de mémoire en adressant un don à la Fondation Napoléon (148 boulevard Haussmann, 75008 Paris) au moyen du coupon figurant sur le bulletin de souscription (document pdf), ou sur papier libre. L'ensemble des sommes collectées sera consacré à l'opération.
Pour en savoir plus
Voir la dernière mise à jour de la liste des donateurs


COLLOQUE : « LA LORRAINE ET LES PAYS DE LA RIVE GAUCHE DU RHIN »
Le 26 novembre prochain aura lieu un colloque à l'Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson sur le thème : « La Lorraine et les pays de la rive gauche du Rhin du Moyen Age à nos jours : relations, différences et convergences. » Plusieurs interventions concerneront les périodes napoléoniennes.
Si l'entrée du colloque est libre, Il est néanmoins nécessaire de s'inscrire au préalable avant le 19 novembre auprès du CHR à : chr@lorraine.eu
Pour en savoir plus


  
   
VIENT DE PARAÎTRE > DICTIONNAIRE DU PERSONNEL DE LA COUR DES COMPTES DE NAPOLEON. 1807-1808
De Nicole Hermann Mascard, docteur ès Sciences économiques et docteur en Droit, ce dictionnaire réunit 104 notices biographiques du personnel de cette institution fondée par Napoléon en septembre 1807, et s'avère être un excellent outil de travail dans la grande tradition des ouvrages de prosopographie.

Pour en savoir plus

 
BIOGRAPHIES > JEAN-BAPTISTE DE BELLOY
Cette semaine, nous vous proposons la notice biographique de Jean-Baptiste Belloy, grand prélat français qui se rallia à Bonaparte au moment du Concordat. Cette notice est tirée du Dictionnaire historique et biographique de la Révolution et de l'Empire (1789-1815), rédigé en 2 volumes par le Dr Robinet, Adolphe Robert et J. Le Chapelain et paru en 1898.
Pour en savoir plus


  
   
EXPOSITION > LES PRIMITIFS DE LA PHOTOGRAPHIE A LA BNF
A découvrir, la nouvelle exposition de la BNF, site Richelieu, organisée pour le Mois de la photo et intitulée : « Primitifs de la photographie. Le calotype en France (1843-1860) ». Cette exposition est l'occasion de découvrir le calotype, procédé venu concurrencer le daguerréotype, et l'art de la photographie dans ses débuts.
Pour en savoir plus
  
A consulter sur le site napoleon.org :
- Le Prince impérial sur son poney, posant pour le photographe
L'album photo du camp de Châlons
Chez le photographe, caricature d'Honoré Daumier
L'art du portrait par Nadar (1820-1910)
- La Cour impériale à Fontainebleau, le 24 juin 1860
- Portrait d'Abd el-Kader avec son entourage

Le site Gallica.bnf.fr, quant à lui, propose à travers de nombreux documents de découvrir la daguerréotypomanie :
Historique et description des procédés du Daguerréotype et du diorama rédigé par Daguerre, Paris 1839.
L'accueil fait au daguerréotype
Quelques photos de famille
Portrait de Napoléon III
- Portraits d'anonymes 
 
 
IL Y A 200 ANS
 
Le Valais

A la suite de la bataille de Marengo (1800), la région du Valais en Suisse, pour  son rôle de maintien des lignes de communication entre la France et l'Italie, retint toute l'attention de Napoléon. Le traité franco-italien-helvétique du 28 août 1802, donna son indépendance au Valais, créant la République Rhodanienne. En échange de cette indépendance, la France et l'Italie obtinrent l'usage sans condition de la route du Simplon reliant les deux pays, dont la construction fut financée par elles deux.
Cependant, dès février 1810, Napoléon ordonna à Champagny de l'instruire sur ce traité signé en 1802. Il se préoccupait alors du gouvernement qualifié de "faible" de la république et de son incapacité à prendre des mesures autoritaires contre la contrebande. L'expansion de l'Empire restait sa principale préoccupation.
Durant l'été 1810 de nombreuses discussions eurent lieu sur l'éventuelle annexion de la république et, avant le 3 novembre, Napoléon prit sa décision. Un décret impérial annonça ainsi le 12 novembre 1810 que la période d'indépendance du Valais prenait fin :
« Napoléon, Empereur des Français, Roi d'Italie, Protecteur de la Confédération du Rhin, Médiateur de la Confédération suisse ;
Considérant que la route du Simplon qui réunit l'Empire à notre royaume d'Italie, est utile à plus de soixante millions d'hommes ; qu'elle a coûté à nos trésors de France et d'Italie plus de dix-huit millions, dépense qui deviendrait inutile, si le commerce n'y trouvait commodité et parfaite sûreté ;
Que le Valais n'a tenu aucun des engagements qu'il avait contractés, lorsque nous avons fait commencer les travaux pour ouvrir cette grande communication ;
Voulant d'ailleurs mettre un terme à l'anarchie qui afflige ce pays […] Nous avons décrété […] :
Art 1er : Le Valais est réuni à l'Empire
2. Ce territoire formera un département, sous le nom de département du Simplon
[Bulletin des Lois n°3256]
 
 
Grossesse impériale
Le 12 novembre, Napoléon annonçait officiellement devant le Sénat la grossesse de l'impératrice Marie-Louise.


IL Y A 150 ANS

 
Le mystérieux voyage de l'impératrice Eugénie en Ecosse
Suite au décès tragique de sa soeur, la duchesse d'Albe, survenu le 16 septembre 1860 (voir
Lettre n°558), Eugénie décida de partir quelques jours en Ecosse.
Prosper Mérimée nota à propos de ce voyage dans une lettre du 11 novembre 1860 adressée à Antonio Panizzi, bibliothécaire au British Museum (Londres) : « Jugez ce qu'on va dire, et tous les contes qui seront bâtis là-dessus » [Prosper Mérimée, Correspondance générale, vol. 4]. Ce voyage impromptu, entrepris durant l'hiver, fut la proie de rumeurs et d'insinuations en tout genre.
A Paris, le bruit courait que Napoléon III accordait un peu trop d'attention à une certaine comtesse de Castiglione. Earl Cowley, l'ambassadeur britannique en France, fit lui aussi quelques remarques sur ce voyage dans une lettre écrite le 13 novembre 1860 à Lord Clarendon. Il y exposait comme motif le stress et une certaine tristesse. Il y mentionnait aussi la rumeur selon laquelle il était fort possible qu'Eugénie souffrît du mal qui avait emporté sa soeur, et se dirigeait ainsi vers Edimbourg pour voir un médecin renommé, James Young Simpson.
Eugénie quitta Saint-Cloud le 14 novembre et arriva à Londres deux jours plus tard. Mais, ayant omis de faire des réservations à Londres, Eugénie qui voyageait alors sous le titre de comtesse de Pierrefonds, fut obligée d'aller d'hôtel en hôtel  afin de trouver où loger convenablement. Ce ne fut qu'à la cinquième tentative qu'elle trouva enfin un endroit à sa convenance.
Avant d'atteindre l'Ecosse, elle s'arrêta à York, où elle visita la c

  
   

  
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