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NAPOLÉON À VERSAILLES Le 14 février à 9 heures du matin, Napoléon prendra pour trois mois ses quartiers au château de Versailles à l'occasion d'une grande exposition intitulée : « Les guerres de Napoléon », organisée autour de l'oeuvre de Louis François Lejeune, général, mémorialiste et peintre. On voudrait souligner ici la double rareté de l'événement : d'une part, un des plus grands établissements publics culturels français consacre de grands moyens et sa grande exposition temporaire au Premier Empire (et qui plus est aux « guerres napoléoniennes ») ; d'autre part, ce grand établissement est Versailles qui nous a habitué à de superbes expositions sur le XVIIe et le XVIIIe siècles, qui constituent a priori son « fonds de commerce »… a priori seulement. Car nul n'ignore que le château des rois abrite ce qu'on appelait autrefois le Musée d'histoire de France et que des centaines de toiles d'histoire, parmi les plus célèbres, y sont conservées sans être toujours montrées. Ce sera partiellement chose faite dans cette exposition, avec en sus de nombreux prêts venant d'autres musées. Autre juste retour des choses : Napoléon fait partie de ceux qui « ont sauvé Versailles » et il était au fond bien normal que Mmes Catherine Pégard, présidente, et Béatrix Saule, directeur du musée, lui laissent une place (en l'espèce de choix) dans leur programme culturel et artistique. Bref, réjouissons-nous et courons, à pied, à cheval ou en RER, visiter cette exposition dont la commissaire est Mme Valérie Bajou qui, si elle refuse l'épithète de « napoléonienne », n'en a pas moins sa place parmi nous.
Thierry Lentz Directeur de la Fondation Napoléon

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SPECIAL LOUIS-FRANÇOIS LEJEUNE GENERAL ET PEINTRE (1775-1848) LE TABLEAU DU MOIS > LA BATAILLE DES PYRAMIDES Né en 1775, Louis-François Lejeune, acteur héroïque de l'épopée napoléonienne, blessé maintes fois aux combats, a laissé des souvenirs précis de ses campagnes : des mémoires fameux et de nombreuses toiles. C'est au Salon de 1806 que Lejeune exposa La Bataille des Pyramides. La victoire le 21 juillet 1798 de l'armée française, menée par le général Bonaparte dans la plaine de Gizeh contre les Mamelouks de Mourad-bey, était déjà entrée dans la légende napoléonienne. Mais loin de la grandiose image de propagande, c'est une vision panoramique et narrative que nous offre Lejeune. Pour en savoir plus EXPOSITION > LES GUERRES DE NAPOLEON Retrouvez cette Bataille des pyramides dans l'exposition Les guerres de Napoléon. Louis-François Lejeune général et peintre (1775-1848) qui se tient au château de Versailles du 14 février au 13 mai 2012. A travers 150 tableaux, dessins et instruments scientifiques, cette exposition met en lumière Louis-François Lejeune, personnage unique aux multiples facettes qui a mené de front et brillamment plusieurs carrières : artistique, militaire et politique. A consulter sur le site du château de Versailles le dossier sur l'exposition avec le diaporama (lien externe)
DOSSIER THEMATIQUE > LOUIS-FRANÇOIS LEJEUNE (1775-1848) GENERAL, PEINTRE ET MEMORIALISTE Pour en savoir plus sur la vie et l'oeuvre de Louis-François Lejeune, consultez le dossier thématique que nous lui avons consacré sur napoleon.org.

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NAPOLEONICA LA REVUE > LE N° 12 EST EN LIGNE ! Le douzième numéro de Napoleonica La Revue vous propose de nouvelles études en français et en anglais traitant en grande partie des thèmes de la guerre et de l'administration. Au sommaire : Premier Empire - Deux vecteurs récents et méconnus du renouvellement historiographique de la guerre d'Espagne (1808-1814) : l'archéologie et la paléopathologie – 1re partie, par Jean-Marc Lafon - Davout, l'organisateur véritable de l'armée de 1815, par Pascal Cyr - La centralisation napoléonienne au révélateur lyonnais, par Jean-Philippe Rey - Napoléon – Hitler, the improbable comparison, par Thierry Lentz - La Grande Nation à l'épreuve des grandes nations lors de l'expansion napoléonienne, par Thierry Couzin Second Empire - La Saint-Napoléon à Joigny (quand on célébrait la fête nationale le 15 août), par Bernard Richard Comptes rendus : - Luigi Mascilli Migliorini (dir.), Italia napoleonica: Dizionario critico, Turin, UTET Libreria, 2011, par Thierry Lentz - Bruno Colson (prés. et annot.), Napoléon. De la guerre, Paris, Perrin, 2011, par François Houdecek Pour être informé directement de la mise en ligne d'un nouveau numéro, abonnez-vous à l'alerte e-mail de la revue sur Cairn.info (inscription via la colonne de gauche de la page d'accueil du numéro).

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DOCUMENT : LES CERCUEILS DE NAPOLEON Notre ami (et administrateur de la Fondation Napoléon) Jacques Macé nous a transmis quelques réflexions nouvelles sur l'affaire de la pseudo-substitution du corps de Napoléon. Nous les publions ici : « Dans l'émission L'Ombre d'un doute du 18 janvier (France 3, Franck Ferrand), nous avons entendu M. Bruno Roy-Henry développer les arguments maintes fois répétés depuis 1969 sur la substitution du corps de Napoléon, et ses contradicteurs exposer leurs non moins sempiternelles raisons de la présence de son corps aux Invalides. Curieusement Roy-Henry n'a pas fait état de la découverte récente, par lui-même pourtant, d'un très intéressant document susceptible d'éclaircir (définitivement ?) cette ténébreuse affaire. Début juin 1840, Thiers chargea une Commission de salubrité de faire des recommandations sur les mesures sanitaires à prendre lors de l'exhumation du corps de Napoléon à Sainte-Hélène. La Commission se renseigna d'abord sur les conditions de l'inhumation en 1821. Dans ses Mémoires, publiés en 1825, le docteur Antommarchi (décédé en 1836) décrivait quatre cercueils emboités (fer blanc, acajou, plomb, acajou). Mais le rapport signé par Bertrand, Montholon et Marchand (vraisemblablement écrit par Marchand) n'en citait que trois (fer blanc, plomb, acajou). La Commission, à la demande de Thiers, auditionna Marchand qui indiqua trois cercueils (fer blanc, plomb, acajou de 18 mm d'épaisseur). On verra bien à l'exhumation, dut se dire la Commission qui passa à la suite. Le 15 octobre, lors de l'exhumation, on découvrit que c'était Antommarchi qui avait eu raison. Marchand se sentit-il marri de son erreur qui lui avait fait zapper le cercueil intermédiaire entre les deux cercueils métalliques ? Un ou deux ans plus tard, rédigeant ses Mémoires et décrivant l'ensevelissement, il prit soin de faire état de quatre cercueils. L'affaire aurait dû en rester là (comme le fit la Commission, en soulignant seulement l'erreur de Marchand dans une note additionnelle au rapport qu'elle publia en 1841 dans les Annales d'Hygiène publique)». Le rapport de la Commission est conservé à la Bnf et disponible sur Gallica. Il est accompagné du rapport du docteur Guillard sur l'exhumation. Pour consulter le mémoire de l'exhumation (format PDF) Nous vous proposons également de découvrir un témoignage anglais totalement méconnu qui raconte l'exhumation de l'Empereur et l'émotion de ses compagnons lorsqu'ils l'ont reconnu. On doit cette (re)découverte à Albert Benhamou, autre grand spécialiste de Sainte-Hélène qui vient de la diffuser sur son site Internet : L'autre Sainte-Hélène. Pour lire cet article
ACTUALITES > OPERATION "SAUVEZ LA MAISON DE L'EMPEREUR" - JOURNAL DE RESTAURATION Le Journal du conservateur des domaines français de Sainte-Hélène, Michel Dancoisne-Martineau, vous propose de découvrir les chantiers de restauration à Longwood. Il ouvre le bal avec les photos de la restauration en cours du salon de l'Empereur. Pour en savoir plus - DES DIPLÔMES POUR LES DONATEURS Tous les donateurs de l'opération Sainte-Hélène pour sauver la maison de Napoléon à Sainte-Hélène recevront d'ici quelques semaines un diplôme personnalisé pour les remercier. La souscription est toujours ouverte pour les futurs donateurs. Consulter la liste des donateurs

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COLLOQUE > 1812, LA CAMPAGNE DE RUSSIE. REGARDS CROISES SUR UNE GUERRE EUROPEENNE Les 4 et 5 avril prochains aura lieu un colloque international, organisé par la Fondation Napoléon, le Souvenir napoléonien, le Centre de Recherche en Histoire des Slaves de l'Université Paris I et les Archives diplomatiques, pour commémorer le bicentenaire de la campagne de Russie, au Centre de Conférences ministérielles du ministère des Affaires Etrangères (Paris 15e). Inscriptions uniquement à partir du 15 février 2012, date de mise en ligne du bulletin d'inscription sur le site.
EXPOSITION > "LA FRANCE EN RELIEF" Vous avez encore une semaine, jusqu'au 17 février, pour vous rendre sous la nef du Grand Palais pour admirer les fabuleux et gigantesques plans-reliefs de la France de Louis XIV à Napoléon III. Des plans habituellement dispersés dans différents musées et enfin réunis dans un même lieu. Pour vous convaincre de vous y rendre, nous vous proposons de consulter sur napoleon.org le compte rendu que nous a envoyé Bruno Calvès du magazine L'Histoire.
TELEVISION > TELEFILM TOUSSAINT LOUVERTURE France 2 diffuse les 14 et 15 février à 20h30 un téléfilm consacré à Toussaint Louverture, réalisé par Philippe Niang et avec Jimmy Jean-Louis dans le rôle titre. La 2ème partie sera suivie d'un débat animé par Benoît Duquesne. Bruno Calvès, de l'Histoire, a vu le téléfilm et proposera prochainement sa critique : à suivre sur notre page Facebook !

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A TABLE > DINDE TORTUE (recette Second Empire) A la base c'est une recette classique de dindonneau ou de dinde, mêlant des saveurs sucré-salé, citron et lard, vin de Madère et farce. Ce plat illustre bien les deux composantes de la cuisine du Second Empire : solide dans ses ingrédients et imaginative dans sa présentation. Une banale dinde devait surprendre par ses saveurs et briller sur la table en paradant en tortue. Pour en connaître la recette
IL Y A 200 ANS
Bataille de Sultanabad du 13 février 1812 Depuis le Directoire, la France avait des intérêts en Perse. Ce n'est cependant qu'en 1807 que Napoléon – avec l'intention de mettre à mal les intérêts britanniques en Inde et causer des troubles dans les territoires discutés du sud de la Russie – signa le Traité de Finckenstein et expédia le général Gardane à la cour du Schah, à Téhéran. La montée sur le trône du tsar Alexandre Ier, en 1804, avait ravivé les intérêts russes dans les territoires au sud du Caucase, entraînant le pays dans un conflit avec l'Iran, qui avait établi son aire d'influence autour de la mer Caspienne (aujourd'hui Azerbaïdjan). La guerre qui éclata en 1804 vit l'établissement persan d'Echmiadzin (Vagharshapat, en Arménie) tombé face aux troupes russes. Même si en tant que commandant perse et fils du shah, Abbas Mirza, se battit pour moderniser son armée – faisant appel à l'expertise française et par la suite britannique – la Russie continua de conserver l'avantage. La Perse se retrouva vite au centre d'une rivalité franco-britannique complexe dont elle ne pouvait retirer aucun bénéfice réel. Le Traité de Tilsit de juillet 1807, qui avait abouti à une alliance franco-russe, signé, l'attention de l'Empereur se détourna de la Perse pour revenir vers les questions européennes. La répugnance de Napoléon à garantir le territoire iranien face à l'avance russe persuada finalement le Shah que ses intérêts seraient mieux servis ailleurs. Le représentant britannique à la cour de Perse, Sir Harford Jones, saisit sa chance et donna son accord pour une alliance qu'il signa le 12 mars 1809 et qui aboutit au renvoi de Gardane. Un certain nombre d'officiers militaires britanniques arrivèrent en délégation avec, parmi eux, le lieutenant Lindsay Bethune, chargé de superviser la modernisation de l'artillerie à cheval persane, et le Commandant Christie, qui commandait l'infanterie. Comme les rumeurs du prochain conflit entre la Russie et la France arrivèrent en Perse, une nouvelle offensive fut montée. Le 13 février 1812, des troupes persanes réussirent à prendre le dessus sur les forces russes commandées par Pyotr Kotlyarevsky à la Bataille de Sultanabad (Arak aujourd'hui). Malgré la nature relativement secondaire de la bataille, elle a été peinte comme une victoire glorieuse de l'armée persane modernisée sur l'envahisseur russe, comme on peut le voir dans la grande toile représentant cette victoire - une toile conservée à Saint-Pétersbourg (Musée de l'Ermitage) provenant de la résidence d'Ujan d'Abbas Mirza. Mais la joie persane fut de courte durée, Abbas Mirza se vit en effet battu par Kotlyarevsky, six mois plus tard, à la Bataille d'Aslanduz le 31 octobre 1812. IL Y A 150 ANS
Photographie microscopique et pigeons voyageurs Le Moniteur universel, toujours au courant des dernières innovations technologiques, réserva dans son édition du 15 février 1862, quelques colonnes à la photographie microscopique. « Tout le monde a applaudi aux heureuses tentatives faites par la photographie pour amplifier les épreuves et les amener jusqu'à la grandeur naturelle. En même temps on tentait le résultat inverse. La photographie microscopique se proposait de réduire les épreuves à un infiniment petit pour les faire voir ensuite dans leur proportion normale ; c'est ce qu'on a admiré à l'exposition dernière [en 1859]. M. Dagron a poussé à tel point cet art industriel que, dans de petits tronçons de verre, ayant à peine 5 à 6 millimètres de long, il peut renfermer n'importe quel chef d'oeuvre de peinture, de sculpture ou d'histoire. [...] Cette magique découverte, qui eut peut-être fait jadis condamner son auteur comme coupable de sorcellerie, est française. Cependant, en Angleterre, on faisait déjà des photographies microscopiques ; mais ces photographies étaient placées sur le milieu d'un verre de 4 à 5 centimètres de long, et il fallait un microscope pour voir l'image; ce procédé était incommode et ne pouvait se populariser. M. Dagron a su, sous un très-petit volume, unir la photographie au microscope pour n'en faire qu'un seul et si petit objet qu'on peut l'appliquer aux bijoux les plus délicats. Là est surtout le mérite de son invention dont le succès a été tel que, malgré tous ses brevets, elle a donné lieu à de nombreuses contrefaçons. [...] Les applications de la photographie microscopique sont innombrables. Ces petits tronçons de verre peuvent se monter en bagues, en bijoux, en bracelets, en broches, en breloques, en cachets, en porte-crayons ; en un mot, vous pouvez avoir discrètement sur vous les images auxquelles vous tenez le plus, et les chefs d'oeuvre que vous aimez. » La microphotographie était au départ une invention de l'anglais John B. Dancer, mais fut jugée rapidement trop coûteuse quant aux moyens utilisés pour la réaliser (utilisation d'un microscope séparé). Prudent René-Patrice Dagron poursuivit les recherches de Dancer et apporta des améliorations technologiques. Il attacha ainsi des négatifs miniatures à une lentille de visionnage modifiée. Le nouveau dispositif, connu sous l'appellation de Stanhope, du nom du troisième comte de Stanhope qui inventa la lentille originale, rencontra l'enthousiasme général. Dagron reçut les acclamations lors des expositions universelles de Paris (1859) puis de Londres (1862). L'invention de Dagron devait cependant se montrer bien plus utile qu'une simple innovation, pendant la guerre de 1870 et le Siège de Paris, durant lequel les lignes de communications de la capitale furent coupées. Des versions microfilms des dépêches et des journaux parisiens furent en effet produites et acheminées vers des villes libres, en province, au moyen de pigeons-voyageurs. A la fin de la guerre, on évalua à 115 000 le nombre de messages échangés grâce aux pigeons de Dagron. (La poste par pigeons voyageurs : souvenir du siège de Paris : Notice sur le voyage du ballon "Le Niepce" emportant M. Dagron et ses collaborateurs et détails sur la mission qu'ils avaient à remplir, par Prudent René-Patrice Dagron)
Bonne semaine à tous !
Irène Delage et Emmanuelle Papot-Chanteranne
LETTRE D'INFORMATION de NAPOLEON.ORG n° 614, 10 au 16 février 2012

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OPÉRATION SAINTE-HÉLÈNE > SAUVEZ LA MAISON DE L'EMPEREUR La Fondation Napoléon et le Souvenir napoléonien s'associent, en partenariat avec le ministère des Affaires étrangères, afin d'entreprendre un grand projet de restauration de la Maison de l'Empereur à Sainte-Hélène, demeure aujourd'hui en péril. Pour participer au sauvetage de ce lieu de mémoire, adressez votre don à la Fondation Napoléon (148 boulevard Haussmann, 75008 Paris), avec le bulletin de souscription (pdf), ou sur papier libre. Pour en savoir plus Voir la liste des donateurs Nouveau : Faites un don directement par Internet grâce au site sécurisé de la Fondation du Patrimoine, partenaire de l'opération
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Revue de presse - Revue d'Histoire du XIXe siècle, n°43, 2011/2 - Historia, n°782, février 2012 : "Portrait : Godin, le patron social du XIXe siècle"
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Quelques dates de l'agenda de napoleon.org :
Colloque Bicentenaire de la campagne de Russie : - Colloque international : 1812, la campagne de Russie. Regards croisés sur une guerre européenne du 04 Avril 2012 au 05 Avril 2012
Conférences : - L'effroyable tragédie, une nouvelle histoire de la campagne de Russie, (1812) Le 15 Février 2012 - Talleyrand au Congrès de Vienne (octobre 1814 – juin 1815) Le 15 Février 2012 - La carrière du colonel Girard : l'ascencion sociale d'un soldat de la fin de l'Ancien Régime à la monarchie de juillet Le 11 Février 2012
Expositions : - Les guerres de Napoléon. Louis-François Lejeune général et peintre (1775-1848)du 14 Février 2012 au 13 Mai 2012 Nouveau - David d'Angers. Les visages du romantisme du 22 Novembre 2011 au 25 Mars 2012 - La France en relief : Chefs-d'oeuvre de la collection des plans reliefs de Louis XIV à Napoléon III du 18 Janvier 2012 au 17 Février 2012 Derniers jours - Le Siam
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