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LE MEXIQUE SOUS LE CHARME DE NAPOLEON « Furor por Napoleón » (Napoléon fait fureur) déclarait le quotidien mexicain El Norte, tandis que son homologue Milenio préférait présenter l'exposition comme étant une belle « ventana a la historia de Francia » (une fenêtre ouverte sur l'histoire de France) : l'inauguration de l'exposition Napoleón au Museo del Vidrio de Monterrey s'est déroulée le 14 février 2006, au cours d'une somptueuse soirée, sous la présidence d'honneur de SAI la Princesse Napoléon, et de la señora Marta Sahagún de Fox, épouse du président de la République, en présence de Mme Liliana Melo de Sada, présidente du Museo del Vidrio, et de M. Federico Sada González, président de Vitro, société mexicaine de fabrication de verre, à laquelle est adossée le musée. De nombreuses personnalités étaient présentes, parmi lesquelles le ministre fédéral de la Culture et les autorités de la province del Nuevo Leon (dont Monterrey est la capitale), ainsi que M. Victor-André Masséna, prince d'Essling, président de la Fondation Napoléon, le général Robert Bresse, directeur du Musée national des Invalides, M. Bernard Chevallier, directeur du Musée national de Malmaison, M. le préfet Mehnert, administrateur de la Fondation Napoléon et M. Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon. Cette exposition, la première sur Napoléon au Mexique, est accompagnée d'un cycle de conférences durant quatre mois. Pour en savoir plus, quelques articles de la presse mexicaine : http://www.milenio.com/nota.asp?id=264105 http://www.milenio.com/nota.asp?id=263553 http://mx.news.yahoo.com/060215/7/1mdhd.html http://www2.nl.gob.mx/?P=leerarticulo&ArtOrder=ReadArt&Article=53235 http://www.elnorte.com/

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SALLE DE LECTURE > L'ARTICLE DU MOIS Bonaparte, la Corse et les Corses, par Barbara Krajewska Napoléon n'a pas encore dix ans lorsqu'il quitte pour la première fois la Corse pour entrer au collège d'Autun le 1er janvier 1779, puis rejoindre l'école militaire de Brienne le 12 mai de la même année. Bénéficiaire d'une bourse royale, il découvre le continent où il est vite en proie à un mal de vivre, se repliant sur lui-même face à l'hostilité de ses petits camarades français. Enfant de l'exil, résister est sa première action indépendante. Pour en savoir plus Paoli et Bonaparte. Fresque sur la façade du musée A Bandera © Fondation Napoléon

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MARBOT CROQUE PAR STEPHANE PETRE Le 16 février, les amateurs du 9e art ont découvert chez leur libraire une pittoresque bande dessinée dont le personnage central est le général Marbot. Dans ce premier tome d'une série de 6, intitulé Marbot. Instruction An VIII, Marbot est le propre narrateur de ses débuts militaires comme hussard, de sa rencontre avec le général Bonaparte jusqu'à la bataille de Marengo le 14 juin 1800. Graphisme dynamique, couleurs vives, humour : ce premier album de Stéphane Pêtre a reçu un accueil chaleureux au dernier festival de bandes dessinées d'Angoulême. © Editions THELOMA Pour en savoir plus

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UNE BASE DE DONNEES SUR LE SPECTACLE DE 1600 A 1800 Internet peut se révéler un véritable outil de connaissance mondiale pourvu que l'on y trouve des sites intéressants et sérieux. C'est le cas avec la base de données anglaise, « cesar.org.uk », qui se définit comme le calendrier électronique des spectacles sous l'Ancien Régime et la Révolution mais qui se révèle être plus que cela encore, soit une incontournable banque de données pour tous ceux qui s'intéressent au monde du spectacle. Elle permet, mais à condition de savoir un peu ce que l'on cherche, de trouver des fiches sur un acteur, un compositeur ou un artiste. Des fiches présentent également des personnages de pièces, et indiquent l'oeuvre dont ils sont tirés, le théâtre où les représentations ont été données, etc. Chaque fiche est pourvue de liens vers des sites pouvant approfondir certains points. Il est à noter que l'environnement de travail est en anglais mais que les informations sont en français. Un outil de travail remarquable, dont on espère qu'il proposera des données au-delà de 1800. Pour en savoir plus

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IL Y A 200 ANS
23 février 1806, ratification par la Prusse du Traité de Paris. Après la victoire d'Austerlitz, Napoléon avait signé avec la Prusse, une alliance offensive et défensive afin d'isoler l'Autriche. Mais face à l'hostilité grandissante de la Prusse, désireuse d'obtenir des territoires supplémentaires à ceux acquis par le traité de Schönbrunn (15 décembre 1805), Napoléon lui impose le Traité de Paris. Il y redouble de fermeté et, sans accorder à la Prusse aucun territoire supplémentaire, exige qu'elle ferme ses portes au commerce anglais. Le roi de Prusse ratifie le traité contraint et forcé, mais se rapproche du Tsar dans le dessein de nouer une nouvelle alliance contre Napoléon. Ce sera la quatrième coalition.
Le 26 février 1806, un décret ordonne l'érection de l'Arc de Triomphe du Carrousel, cet arc devant servir d'entrée d'honneur au Palais des Tuileries et célébrer les victoires de la campagne de 1805. Napoléon confie l'ouvrage aux architectes Percier et Fontaine qui vont s'inspirer de l'Arc de triomphe de Septime Sévère à Rome. Pour en savoir plus Mais aussi : Le 24 février 1806 meurt J.-F. Collin d'Harleville (1755-1806), auteur dramatique français et poète comique, membre de l'Institut et élu à l'Académie française en 1803. Auteur de nombreux recueils de poésies et de comédies comme les Moeurs du Jour ou l'école des jeunes femmes (1800), il était réputé pour ses maximes malicieuses : « Eve a pêché, pourquoi ? Parce qu'on la flatta. - Exemple que depuis mainte femme imita. », et apprécié pour son moralisme bon enfant.
Le 26 février 1806 meurt le général Thomas-Alexandre Davy de La Pailleterie, dit Alexandre Dumas. Né le 27 mars 1762 dans la colonie française de Saint-Domingue d'un colon Antoine Alexandre Davy, Marquis de la Pailleterie, et d'une indigène, Marie-Céssette Dumas, il était devenu général de division de l'armée française mais une santé fragile l'obligea à démissionner sous le Consulat. Il était le père du romancier Alexandre Dumas père. Pour en savoir plus sur le général Dumas et son fils
IL Y A 150 ANS Le 26 février 1856 s'ouvre le Congrès de Paris (26 février - 30 mars 1856) présidé par le comte Waleski, ministre des Affaires étrangères français. Réunissant des délégués de chacune des puissances impliquées dans la guerre de Crimée (France, Angleterre, Russie, Prusse, Empire autrichien et empire Ottoman…), le Congrès de Paris est une conférence de la paix mettant fin à la guerre de Crimée. Il est surtout le moyen pour la France, mise à l'écart depuis la chute du Premier Empire et le Congrès de Vienne de 1815, de se replacer au rang des grandes nations européennes et de jouer un rôle d'arbitre dans les affaires européennes. Le 29 février 1856, le physiologiste et médecin Claude Bernard (1813-1878) donne sa leçon inaugurale au Collège de France. Né d'une famille modeste du Beaujolais, Claude Bernard, après des études de pharmacie à Lyon, entreprend des études de médecine à Paris. Devenu interne des hôpitaux de Paris en 1839, il ne montre que peu d'intérêt pour la clinique. Il croise alors la route du physiologiste Magendie (1783-1855), professeur au Collège de France, dont il devient le préparateur. Au contact de son maître le jeune médecin se passionne pour la physiologie et ne tarde pas à faire des découvertes capitales pour l'avancement médical. Il met ainsi en évidence le rôle du pancréas dans la digestion des graisses ainsi que la présence de sucre dans l'organisme des diabétiques, ce qui le conduit à la découverte de la fonction glycogénique du foie et à l'isolement du glycogène, combustible de l'organisme. A la mort de Magendie en 1855, Claude Bernard lui succède au Collège de France où il donne sa première leçon le 29 février 1856. Pour en savoir plus sur Claude Bernard et son oeuvre
Nous vous souhaitons une bonne semaine napoléonienne ! Irène Delage et Emmanuelle Papot web éditrices
LETTRE D'INFORMATION du site NAPOLEON.ORG, n° 360, 17 février - 03 mars 2006

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CARNET Le 8 février dernier disparaissait brutalement Charles Davout, duc d'Auerstaedt. Né à Paris le 30 novembre 1951, il était le fils aîné de Léopold Davout, 5e duc d'Auerstaedt, et de Madame Tsyuko Ayusawa. A la mort de son père survenue en 1985, il devenait le 6e duc d'Auerstaedt. Ayant peu de goût pour les mondanités et cultivant la simplicité, il enseignait le français et l'histoire dans un centre de formation et d'apprentissage (CFA). Il était un président d'honneur très actif de l'association « Souvenir du Maréchal Davout ». A sa famille, à ses amis, la Fondation Napoléon présente ses très sincères condoléances. Pour en savoir plus sur l'association Souvenir du maréchal Davout Nous avons également appris le décès, le 13 février, de M. Julien Mallet, à l'âge de 98 ans. Ancien associé d'agent de change, chevalier de l'Ordre national du Mérite, officier des Arts et Lettre, M. Mallet était le président honoraire de la Société historique "Les Amis de Napoléon III". La Fondation Napoléon s'associe au chagrin de sa famille et de ses amis.
LES SITES WEB DE LA FONDATION En raison d'interventions de maintenance sur les serveurs hébergeant les sites édités par la Fondation Napoléon, napoleon.org et napoleonica.org, quelques problèmes d'accès sont susceptibles de se produire du 22 au 27 février. Pour les mêmes raisons, nous ne serons pas en mesure de vous envoyer la Lettre d'information le vendredi 24. Nous vous prions de nous excuser pour ces interruptions de service et vous remercions de votre compréhension et de votre fidélité. Irène Delage responsable éditoriale
LE MAGAZINE cette semaine :
La revue de presse : - Napoléon reconstitué - Le Gnomon, Revue Internationale d'histoire du Notariat n°146, 2005/3 : Le prix d'un homme à Niort en 1813, l'exemple d'un contrat de suppléance militaire - Science & Vie junior n°198, mars 2006 : Napoléon a-t-il été assassiné ?
Les Livres qui viennent de paraître : - HULOT Frédéric, Les frères de Napoléon, Pygmalion - LEGAT Michel (edit. par), Mémoires du colonel Combe, Edition du Grenadier - PÊTRE Stéphane, Marbot. T1, Instruction An VIII, THELOMA.
L' Agenda napoléonien : Colloque : - L'esprit économique impérial ? Groupes de pression et réseaux du patronat colonial en France et dans l'empire (1830-1970) Conférences : - Le testament de Napoléon Ier, Délégation des Alpes Maritimes du Souvenir Napoléonien - Les vétérans de la Grande Armée, Bibliothèque Marmottan - De Bonaparte à Bush. Les réformes imposées de l'extérieur au Proche-Orient -La confédération du Rhin : 1806-1813 Souvenir Napoléonien Ile-de-France - Consortium sur l'époque révolutionnaire, Atlanta, Etats-Unis
Expositions : - 1905-2005, le musée de l'Armée a 100 ans, prolongée jusqu'au 19 février ! - Talleyrand ou le miroir trompeur, musée Rolin d'Autun, prolongée jusqu'au 19 février ! - Napoléon au Mexique, les trésors de la Fondation Napoléon exposés au Mexique Journée : - Journée dédiée au Maréchal Moncey à Besançon délégation franc-comtoise du Souvenir Napoléonien Reconstitution : - Reconstitution du débarquement de Napoléon à Golfe Juan 2006
Salons : - Salon du livre et du vieux papier, Espace Champerret, Paris - Salon du livre d'histoire, de la figurine et des armes anciennes à Montereau-fault-Yonne
Visite guidée : - L'oeuvre de David au Louvre
Un problème de lien dans la Lettre ? Consultez notre page d'accueil : http://www.napoleon.org
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