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Lettre d'information  
        
   
    L'AUTRICHE COMMEMORE 1809
Alors que le calendrier français des célébrations nationales est muet sur la guerre franco-autrichienne de 1809, l'Autriche prépare, elle, quelques événements pour la commémorer.
C'est ainsi que le Kunsthistorischesmuseum de Vienne (le plus grand musée autrichien) ouvrira le 15 mai prochain au château de Schallabourg une exposition "Napoleon. Feldherr, Kayser une Genie", avec plusieurs centaines d'objets (dont de nombreux provenant de la collection de la Fondation Napoléon et de musées nationaux français). Les grandes batailles de la campagne de 1809 ne passeront pas non plus inaperçues avec des cérémonies ou reconstitutions à Ebelsberg (3 mai), Essling (16 mai), Aderklaa (31 mai), Wagram (4-5 juillet), Znojmo-Znaïm (10-12 juillet), Ulrischkirchen (11 juillet), Marchegg (12-18 juillet), Gross-Enzersdorf (25-26 juillet), Hollabrunn (31 juillet-2 août), Golling (4-6 septembre). Signalons encore une conférence passée sur Andreas Hofer, chef des insurgés tyroliens (29 janvier). Avec en outre la programmation d'un Symposium international organisé au Musée de l'Armée autrichienne du 4 au 6 juin, on se rendra compte que l'été 2009 sera très napoléonien en Autriche.
La Fondation Napoléon sera partenaire de l'exposition de Schallabourg et du Symposium international de Vienne.

 
VOYAGE A WAGRAM
L'association "Est'Capade" organise un voyage début juillet à Wagram : pour obtenir des informations et vous inscrire, contactez Frédérique ou Simon Doillon, 18, rue de Hautmougey, 88240 Harsault. Tél.-Fax : 03 29 30 95 94 ou
estcapade@voila.fr


  
   
ART ET COLLECTIONS > L'OBJET DU MOIS
Napoléon Ier législateur, par Eugène Guillaume
Le prince Napoléon, fils de Jérôme Bonaparte, avait fait construire, avenue Montaigne à Paris, une demeure imitée des villas antiques. Il avait commandé pour l'atrium de cette dernière une statue en pied de Napoléon Ier figurant l'Empereur en toge tenant le Code civil, la tête laurée, un aigle à ses pieds. L'oeuvre présentée ici est le plâtre original de cette statue en marbre blanc.
Pour en savoir plus
 
FONDATION NAPOLEON > ATELIER D'HISTOIRE
Les interventions de l'Atelier Les chefs d'oeuvres de la peinture napoléonienne, journée organisée le 25 novembre 2008 par la Fondation Napoléon, et accueillie par la Bibliothèque Marmottan, sont désormais en ligne. Un partenariat avec Connaissance des Arts.
Pour écouter



  
   
MAGAZINE > VIENT DE PARAITRE
Napoléon III et la Roumanie. Influence de la franc-maçonnerie, par A. Douay et G. Hertault

Dans l'histoire de la Roumanie, Napoléon III et la diplomatie française ont joué un rôle majeur, en favorisant la réunion des deux principautés, la Moldavie et la Valachie. Cette étude est accompagnée de tableaux généalogiques, cartes géopolitiques, chronologie et index.

Pour découvrir le livre
 
Retrouvez notre synthèse sur la constitution de la Roumanie, dans notre Chronologie de 1859.


  
   
MAGAZINE > LA BANDE DESSINEE D'HISTOIRE A L'HONNEUR
A l'occasion de la 36e édition du salon international de Bande dessinée d'Angoulême, Napoleon.org a recueilli les confidences de Michel Dufranne sur les ressorts de la création de la série Souvenirs de la Grande Armée, dont le tome 2 vient de sortir chez Delcourt.
Lire l'interview
Nous vous présentons ce nouveau tome mais aussi d'autres titres de BD d'histoire napoléonienne qui nous plaisent beaucoup :
- Souvenirs de la Grande Armée. Tome 2 : 1808. Les enfants de la veuve
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Marbot. Tome 4 : Bravoure 1807
- Double masque. Tome 4 : Les deux sauterelles
- Waterloo 1911. Tome 1 : Un rouquin de trop
- Zoulouland. Tome V : chronique de la mort d'un prince


  
   
MAGAZINE > AGENDA > CONFERENCE > LA CARICATURE ANGLAISE
Dans le cadre de son cycle de conférences "Images, récits, pouvoirs 1750-1815 : regards croisés sur la France et l'Allemagne", l'Institut historique allemand de Paris propose, le mardi 10 février à 18h, une intervention de Pascal Dupuy, maître de conférences à l'université de Rouen, sur "L'arme de Joie. La caricature anglaise face à la Révolution française et à l'Empire" : 1793, 1798, 1803-1804 représentent les pics de production les plus importants de la production anglaise, une production encouragée par des commande directes ou indirectes du pouvoir.
Pour en savoir plus 

MAGAZINE > REVUE DE PRESSE
Le Colosse, célèbre tableau symbolisant la révolte de l'Espagne contre les troupes françaises et la domination napoléonienne, n'a pas été peint par Goya. C'est ce qui ressort d'une analyse approfondie de cette oeuvre arrivée dans les collections du musée madrilène du Prado, en 1931. Des doutes sur l'auteur avaient été émis en 1991, à l'occasion de la préparation d'une exposition consacrée au maître espagnol. Il s'agirait donc plutôt d'une composition d'un élève-assistant de Goya, Asensio Julia, dont les initiales apparaissent d'ailleurs en bas à gauche du tableau.


SOUTENANCE DE THESE

Stéphane Calvet, boursier de la Fondation Napoléon en 2004, soutiendra sa thèse, "Les officiers charentais de la Grande Armée. La gloire, la reconnaissance et le rang dans la France du XIXe siècle", le mardi 10 février à 14h, dans la Salle des thèses à l'université d'Avignon (74 rue Pasteur). Le jury sera composé des professeurs Jean-François Chanet (Univ. de Lille III), Jacques-Olivier Boudon (Univ. de Paris IV), Jacques Péret (Univ. de Poitiers), Annie Crépin (Univ. d'Artois), Alan Forrest (Univ. d'York), Natalie Petiteau (Univ. d'Avignon).

  
    IL Y A 200 ANS
Le carnaval à Paris !
Tradition remontant au XVIe siècle, le carnaval de Paris débute après l'Epiphanie et dure jusqu'au Mercredi des Cendres qui lance la période de Carême des catholiques. Le carnaval est interdit sous la Révolution, l'utilisation de costumes et de masques dans le cadre des festivités faisant craindre à la police une recrudescence de troubles et de conspirations. A partir de 1800 le carnaval revient dans les rues parisiennes mais de manière très encadrée : de 1800 à 1802 les masques restent interdits ; le respect de la décence dans les tenues et les comportements est étroitement surveillé, et aucune allusion politique n'est permise. Le 4 février 1809, le préfet de police fait publier dans les journaux une ordonnance de police.
Lire le texte de l'ordonnance

 
IL Y A 150 ANS
Au milieu du XIXe siècle, la Moldavie et la Valachie étaient deux principautés situées sur la rive gauche du Danube, placées sous la suzeraineté du sultan de l'Empire ottoman. Leur souhait de ce réunir en un seul état, était contrecarré par la Turquie, la Russie et l'Autriche, pour des raisons politiques et économiques. L'activisme de Napoléon III et de la diplomatie française conduisit à la reconnaissance en 1858 de « deux principautés-unies de Moldavie et Valachie », avec cependant un pouvoir politique distinct. Mais comme aucun texte n'interdisait de choisir la même personne pour diriger les principautés, la Moldavie élisait le 17 janvier le colonel et boyard Alexandre Ion Cuza, et la Valachie faisait de même le 5 février 1859.
Lire notre point complet
 

Bonne lecture à tous !
 
Irène Delage
web éditrice

LETTRE D'INFORMATION de NAPOLEON.ORG, n° 483, 30 janvier-5 février 2009

  
   

  
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BIBLIOTHEQUE FONDATION NAPOLEON
La bibliothèque M. Lapeyre-Fondation Napoléon sera exceptionnellement fermée le mercredi 4 février 2009.


MAGAZINE

Revue de presse
- Le Colosse n'est pas une oeuvre de Goya

Viennent de paraître
- Napoléon III et la Roumanie, d'A. Douay et G. Hertault
 
  
 
      
   

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