Gravure parue dans L'Illustration. Il s'agit en réalité du salon de
Musique dont l'Impératrice avait dirigé la décoration. Deux tapisseries
de la « Tenture du Prince Chinois » de la Manufacture royale de
Beauvais (vers 1688-1690) et deux autres de la « Tenture
du costume turc » des Gobelins (1774) ornent les murs.
Meubles en laque de chine à fond rouge du XVIIIe siècle.
Le thé de l’Impératrice dans son salon chinois lors d’une "série" de Compiègne
