Blush

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Il ne fait pas bon être trop maquillée sous le Second Empire !
Au théâtre, les comédiennes ne supportent plus les maquillages de l'époque, bien trop gras. De plus, un trop plein de fard est synonyme de femme de mauvaise vie.
Alexandre-Napoléon Bourjois va remédier à ceci en créant le « fard à rosir » en 1863 : constitué de poudre, sa texture est très appréciée, ainsi que son apparence, veloutée.

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