Un roman plaisant, au style accessible et qui n’alourdit pas le récit en mettant en avant excessivement sa documentation, pourtant bien réelle. (M. B.)
Présentation de l’éditeur
Paris, 1800. Le regard du Premier Consul Napoléon Bonaparte est rivé vers les rivages de la Grande-Bretagne. Un engin révolutionnaire, capable de couler les navires en les attaquant depuis les profondeurs sous-marines, pourrait lui donner l’avantage face à ce rival de toujours. Quand Robert Fulton, inventeur américain, lui propose de fabriquer une telle machine, Bonaparte prétend ne guère y croire. En réalité, il a décidé d’en confier la réalisation à un jeune savant de retour de l’expédition d’Egypte, Maximin Desruries. Il estime qu’il est le seul à posséder le génie inventif qui lui permettra de surpasser la technologie de son temps. Tiraillé entre les puissances qui veulent s’emparer de son invention, du Caire à Paris, de Washington à Tripoli, Maximin pourra compter sur l’aide de l’ancien pirate barbaresque Altan et de la perspicace Marie-Aimée pour faire face aux espions et aux jalousies, et enfin se réconcilier avec un passé qui le hante.