Grandeur et décadence de Marie Isabelle, modiste, dresseuse de chevaux, femme d’affaires, etc.

Itinéraire exceptionnel que celui de Marie Isabelle, fille de cordonnier, qui obtint de son métier de modiste l'indépendance économique, de son mariage une respectabilité bourgeoise, et de ses affaires une reconnaissance publique certaine. En 1854, elle entre à l'Ecole de cavalérie de Saumur pour enseigner l'art du dressage, à partir d'une méthode qu'elle mit au point. Ce bouleversement des conventions sociales et militaires sse solda par un échec malheureusement inévitable.
 
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