A travers les initiatives françaises, diplomatiques, militaires, et économiques(avec la construction du Canal de Suez par exemple), l'auteur montre que Napoléon III n'avait pas de réelle politique arabe à destination du Machrek. Pourtant, malgré ces tâtonnements, c'est à cette époque que la France prend conscience du rôle essentiel de la région du Proche-Orient, entre l'Europe et l'Extrême-Orient.
Revue du Souvenir Napoléonien, n° 433, février-mars 2001, G. Arboit, p. 39-51