Fleury Richard (1777-1852) ou l’évocation d’un passé onirique : à propos de l’acquisition de trois peintures (par le musée de Malmaison et par le Louvre)

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Deux tableaux de Fleury Richard [Charles VII écrivant ses adieux à Agnès Sorel, vers 1804 et Jacques Molay, grand maître des Templiers, 1806] ont été acquis par le musée de Malmaison qui s'efforce de reconstituer la galerie de peintures de l'impératrice Joséphine.
 
Cette dernière avait réuni un ensemble de peintures contemporaines dont un certain nombre de tableaux dénommés alors  » anecdotiques  » et aujourd'hui  » troubadours « . La collection fut dispersée et partagée à sa mort, entre ses deux enfants Hortense et Eugène.
 
Cette acquisition par le musée de Malmaison, et celle du Louvre [Le petit chaperon rouge, années 1820] sont pour l'auteur l'occasion d'analyser le contexte littéraire (pièce de théâtre, réédition des contes de Perrault) et musical (mode des romances) de cette peinture troubadour.
 
 
Un article de Marie-Claude Chaudonneret, Revue du Louvre – La revue des musées de France, n°2, 2002, p. 70-75
 
Vente au numéro aux comptoirs de la librairie du Louvre et des Musées nationaux, et 10, rue de l'Abbaye, 75006 paris
 
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