Dans les années qui suivirent la Révolution, les pendules connurent une vogue sans précédent. Les artistes libérés de contraintes techniques purent donner libre cours à leur imagination et à leur fantaisie pour créer une multitude de modèles. Les horlogers Lepaute oncle et neveu, et Bailly furent parmi les artistes préférés de l'Empereur. Ce dernier fit commander par le Garde-meuble pas moins de 250 pendules pour remeubler les appartements impériaux.
L'estampille – l'Objet d'art, n° 324, mai 1998, Marie-France Dupuy-Baylet, p. 54-65.