Ce premier numéro de l'année 2002 vous propose :
– La famille de Napoléon : La reine Hortense, par M. Catinat, p. 6-13
« Quel personnage de l'histoire de France peut s'enorgueillir d'avoir été fille d'une Impératrice, d'être devenue Reine, et mère d'un Empereur ? »
– Témoignages : L'hôpital de Plaisance, souvenir de M. Desboeuf présenté par A. Fierro, p. 14-15
« Entré dans l'armée en 1800, Marc Desboeufs (1782-1859) la quittera en sept. 1814 avec le grade de capitaine. Il a rédigé vers 1836 des souvenirs à l'usage de sa famille. »
– Les grandes batailles : Friedland 14 juin 1807, par R. Faget, p. 16-29
« Après la défaite des armées autrichiennes (1805) et prusiennes (1806), les derniers espoirs de la coalition contre la France reposent sur la Russie. »
– Perspectives : La naissance d'un sentiment national en Prusse, 1806-1809, par M. Kérautret, p. 30-37
« On admet en général que les sentiments nationaux sont apparus en Europe, au début du XIXe siècle, dans la confrontation avec la France issue de la Révolution, et notamment du fait des contraintes imposées aux peuples par la domination napoléonienne. »
– La Grande Armée : Les pontonniers, des acteurs méconnus de la guerre napoléonienne, par J.-L. Riccioli, p. 38-45
« La question du passage ou du franchissement des cours d'eau est un problème récurrent des armées en campagne. »
– International : Les Etats-Unis, espoir de Napoléon, par L. Chatel de Brancion, p. 46-51
Le 4 juillet 1776 treize colonies américaines se déclarent « indépendantes » du joug britannique, et emportent l'adhésion des toutes les personnalités du continent européen inspirées par le mouvement des Lumières .
– La France napoléonienne : Les paysans sous l'Empire, par J.-O. Boudon, p. 52-60
« La France napoléonienne est une France essentiellement rurale, dans laquelle le poids des paysans est considérable. Ce sont eux qui fournissent les principaux bataillons de la Grande Armée. »
– Monuments : L'arc du Carrousel, par D. Chanteranne, p. 62-64
« C'est au cours d'un déjeuner qu'il prend aux Tuileries avec l'architecte Fontaine pour décider de la réunion du palais avec le Louvre en février 1806, que Napoléon propose de faire élever en hommage à la Grande Armée victorieuse l'année précédente à Austerlitz, « deux portes d'honneur ».
– Les grands historiens : Louis Madelin (1871-1956), par J. Ranger, p. 66-67
« Louis Madelin entre pleinement dans les études napoléoniennes lorsqu'il décide, parès de nombreuses réflexions, de travailler sur l'histoire du Consulat et de l'Empire. »
– Collections, par K. Huguenaud, p. 68-69
Présentation de pièces remarquables, récemment passées en vente, tant en France qu'à l'étranger : des documents historiques autour de la Paix d'Amiens, et une montre de Sainte-Hélène.
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