Ce numéro 19 vous propose :
– Images de la légende. Napoléon et les grognards, par Jacques Jourquin, p. 6-9
« Ils grognaient et le suivaient toujours.. »
– Témoignages. Coincé dans l'île Lobau, par Alfred Fierro, p. 10-11
Musicien militaire de 1791 à 1810, Philippe-René Girault (1775-1851) a laissé des souvenirs passionnants, car sincères et fourmillants de déails sur la vie quotidienne.
– Dossier : Outre-Mer. La révolte des Antilles (1800-1804), par Jean Martin, p. 12-15
La politique coloniale de Bonaparte fut d'emblée marquée par une volonté de retour à l'ordre ancien.
– Dossier : Outre-Mer. La vente de la Louisiane : une bonne affaire commerciale, par Thierry Lentz, p. 16-19
Dans la politique coloniale du Consulat et de l'Empire, l'affaire de la vente de la Louisiane aux Etats-Unis, en 1803, occupe une place privilégiée.
– Dossier : Outre-Mer. Une mission en Afrique noire, par Vincent Rolin, p. 20-23
Malgré les difficultés dues à la guerre maritime avec l'Angleterre, une faible présence française s'est maintenue en Afrique noire sous l'Empire, notamment au Sénégal.
– Dossier : Outre-Mer. Boutin et la conquête d'Alger, par Jacques Frémeaux, p. 24-27
Le 18 avril 1808, Napoléon adresse à son ministre de la Marine, l'amiral Decrès, une lettre lui ordonnant de réfléchir à l' »expédition d'Alger, tant sous le point de vue de mer que sous celui de terre. »
– Dossier : Outre-Mer. Le combat du Vieux Grand Port (20-27 août 1810), par Patrick Mahé, p. 28-31
La bataille du Vieux Grand Port – seule victoire navale de l'Empire – ne figure pas au hasard sur le fronton de l'Arc de triomphe. Le fait d'armes de Port Impérial est bien l'une des pages les plus glorieuses de l'Empire.
– Dossier : Outre-Mer. La marine et les colonies, par Pierre Lévêque, p. 32-36
Après le désastre de Trafalgar le 21 octobre 1805, la supériorité anglaise sur les mers ne souffre d'aucun doute. Cependant, les marins français tentèrent, avec des modalités diverse, de maintenir des relations entre la France et ses colonies américanes et de l'Océan indien.
– La guerre. La campagne de France II. (3-14 février 1814), par Jacques-Olivier Boudon et Jacques Garnier, p. 38-47
La situation après la Rothière paraissait désespérée : aux 160 000 Alliés concentrés de l'Aube à la Seine, Napoléon ne pouvait opposer que les 25 000 hommes qu'il ramenait et les 20 000 du maréchal Mortier.
– Personnages illustres. Le marquis de Sade, le prisonnier le plus célèbre d'Europe, par Georges Poisson, p. 48-51
Le 4 juillet 1789, un réprouvé célèbre, Donatien Alphonse François comte de Sade, enfermé à la Bastille depuis 6 ans, était transféré à Charenton, puis libéré quelques mois plus tard. Il sera de nouvau arrêté, pour ses écrits
– Les moyens de la guerre. L'artillerie sous Napoléon. II. En campagne, par Jean-François Brun, p. 52-57
Arme technique par excellence, l'artillerie exige une réelle qualification. Les officiers sortent généralement de l'Ecole impériale d'artillerie et du génie de Metz.
– Arts et artistes. Les compositions de Gros, par David Chanteranne, p. 58-59
Né à Paris le 16 mars 1771, Gros profita dans un premier temps des conseils d'un père miniaturiste et d'une mère pastelliste. Il quitte Paris très jeune, et devient interprète à l'armée d'Italie, membre de la commission pour la recherche des objets d'art et de sciences, puis inspecteur aux revues, et enfin lieutenant à l'état-major.
– Ventes aux enchères, par K. Huguenaud, p. 60-61
Retour sur les deux plus belles ventes de la décembre 2002.
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