Napoléon Ier, le magazine du Consulat et de l’Empire, n° 36, janvier-février 2006 : Testament de Napoléon ; Aboukir (25 juillet 1799) ; Champagny ; Tirailleurs corses ; Mort de Murat (13 octobre 1815) ; Hygiène et propreté à la Grande Armée ; Eglise de la Madeleine

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Ce premier numéro de l'année 2006 vous propose :

– Vie de Napoléon. Le testament de Napoléon : une affaire d'argent avant tout, par P. Branda
Dans son testament, Napoléon dresse le bilan de 52 années d'existance en choisissant ses légataires.

– Témoignages. A Paris pour le Nouvel An, document présenté par A. Fierro
Le compositeur Johann Friedrich Reichardt (1752-1814), qui fut maître de chapelle du roi Frédéric II de Prusse, visite Paris en 1802-1803 et en livre de bonnes descriptions dans une série de lettres traduites et publiées par Laquiante (Un hiver à Paris sous le Consulat, réédition présentée par Thierry Lentz, Paris, 2003)
 
– Les grandes batailles. La bataille terrestre d'Aboukir (25 juillet 1799), par J. Garnier
Après la défaite navale d'Aboukir le 1er août 1798, le général Bonaparte est en quelque sorte prisonnier de sa conquête égyptienne. Malgré la pacification de la Basse-Egypte, malgré la soumission de la Haute-Egypte par le général Desaix, le corps expéditionnaire français est menacé par de nouvelles troupes envoyées par l'Empire ottoman.
 
– Personnages illustres. Champagny, de l'Intérieur à l'Extérieur, par T. Lentz
Jean-Baptiste Nompère de Champagny, duc de Cadore, fait partie de ces méconnus du Consulat et de l'Empire. Et pourtant, ce Roannais occupa les postes les plus importants et bénéficia de toute la confiance de Napoléon.

– La Grande Armée. Les tirailleurs corses, par V. Rolin
Si sa ténacité à Austerlitz est célèbre, le bataillon de tirailleurs s'est illustré sur tous les champs de bataille de l'Empire. Un des commandants de cette unité, Philippe Antoine d'Ornano, deviendra maréchal de France en 1861.

– Evénément. Murat, sa dernière équipée et sa mort à Pizzo (13 octobre 1815), par Didier Marty
« Un roi qui ne sait conserver sa couronne, n'a d'autre alternative que la mort du soldat » (Joachim Murat). Le plus flamboyant cavalier de l'Empire ne pouvait pas s'éteindre dans son lit. Sa mort violente sur la côte de Calabre fut à l'image de sa vie : héroïque.
 
– La Grande Armée. L'hygiène et la propreté à la Grande Armée, par J. Croyet
Lorsque les Français entrent à Berlin en 1806, les habitants sont étonnés par l'allure pouilleuse des glorieux soldats. Le manque d'hygiène est d'ailleurs un problème vital pour les soldats de la Grande Armée qui n'ont pas de temps à consacrer à cette actuelle nécessité qui n'est alors qu'une notion.

Monuments. L'église de la Madeleine, par David Chanteranne
Après deux arcs de triomphe et la colonne Vendôme, on oublie souvent que Napoléon voulut célébrer sa victoire sur les Austro-Russes de 1805 par un autre monument. Initiés sous Louis XV, les travaux de l'actuelle église de la Madeleine furent en effet repris sur proposition impériale le jour-anniversaire du sacre et de la bataille d'Austerlitz, depuis Poznan, le 2 décembre 1806.

– Aux enchères, par K. Huguenaud
Présentation des dernières ventes napoléoniennes.


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