Max Gallo avoue avoir toujours été déçu par les grands hommes auxquels il a consacré une biographie (Robespierre, Garibaldi, Jaurès, etc.) . Après son Napoléon, il confesse une admiration restée intacte pour l'Empereur, » une jubilation qui continue après l'écriture. Napoléon est un entraîneur, une machine à enthousiasme. «
L'Agrandi, n° 71, juillet-août 1999, propos recueillis par Yves Stavridès (L'Express)