On connaît l'admiration que Stendhal avait pour Napoléon et les très belles pages sur Waterloo dans son chef d'oeuvre « La Chartreuse de Parme ». On connaît moins sa vie sous le Consulat et l'Empire.
La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Arnaud Daniel, p. 30-32