L'un rêvait de s'emparer du pouvoir, l'autre de devenir l'égal de Richelieu ou de Mazarin. Mais l'alliance entre le général et le diplomate reposait sur une ambiguïté. Finalement, c'est l'éminence grise qui eut le dernier mot.
Historia, n° 636, décembre 1999, Georges Bordonove, p. 40-44