Ce numéro vous propose notamment les articles suivants :
– Les grenadiers. Généralités, par A. Pigeard, p. 5-8
La création des grenadiers est toute française, elle a été imitée universellement.
– Claude Noisot lieutenant en second, par A. Pigeard, p. 9-14
Parmi les fidèles qui accompagnèrent Napoléon à l'île d'Elbe en 1814-1815 figure un Bourguignon, qui a choisi de se faire inhumer devant la statue de son Empereur.
– Royaume de Wurtemberg. Le régiment de la Garde à pied, 1798-1817, par M. Gärtner, p. 17-21
Lorsque le 1er janvier 1806 l'ancien souverain, le duc Frédéric II, obtint le statut de roi, il s'occupa immédiatement de la formation d'une garde.
– Les grenadiers britanniques, par Y. Martin, p. 23-30
En avril 1814, l'armée du Duc de Wellington traverse la Garonne. Victorieuse, elle en impose à la population du Sud-Ouest par son ordre et sa discipline.
– Tambour-Maître des grenadiers à pied de la Garde, par G. Gorokhoff, p. 38-40
Revue en détail d'un habit de tambour-maître des Grenadiers de la Garde.
– Royaume de Westphalie. Les grenadiers à pied de la Garde royale 1808-1813, par A. Pigeard, p. 41-45
Après son avènement au trône de Westphalie, Jérôme Bonaparte décide de mettre sur pied une garde royale, dans l'esprit de la garde impériale française.
– Les grenadiers russes, par G. Gorokhoff, p. 47-50
Si l'usage de grenades à main est introduite dans l'armée russe dès 1668, il faut attendre la création d'une armée nouvelle, établie selon le modèle européen, par Pierre le Grand à partir de 1700, pour voir apparaître des Grenadiers.
– Les grenadiers autrichiens 1805-1815, par A. Umhey, p. 51-56
En 1805, les grenadiers russes autrichiens se battaient soit dans leurs bataillons indépendants, soit avec leur régiment.
– L'armement des grenadiers sous l'Empire, par H. Vuillemin, p. 57-61
Les fusils modèles 1777 et 1777 corrigés An IX seront les indissociables compagnons de gloire et de misère des grenadiers du Premier Empire.
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