Instrument de pouvoir, la Cour devait être une manifestation de la puissance de Napoléon. Mais ne correspondant pas à sa personnalité profonde, l'homme se serait bien passé de cette Cour, si le souverain n'en avait pas eu besoin. Napoléon Ier.
Magazine du Consulat et de l'Empire, n°4, sept.-oct. 2000, Jacques Jourquin, p. 6-14