Revues de presse : 1356
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Revue de presseSaliceti : sa vie pour la Corse française et pour Napoléon Ier
Antoine-Christophe Saliceti (1757-1809) fit voter le décret de réunion de la Corse à la France le 30 novembre 1789. Homme ayant la confiance de Napoléon Ier, il fut nommé par l'Empereur auprès de Joseph roi de Naples et gouverna de fait le royaume napolitain. Il mourut peut-être empoisonné par un homme de Murat. Napoléon Ier […]
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Revue de presseL’ogre Napoléon croqué par les Anglais.
Conservateur au Musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau, Jérémie Benoit présente et analyse quelques caricatures anti-napoléoniennes anglaises. Historia, n° 605, mai 1997, J. Benoit, p.56-59.
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Revue de presseBeauvais au XIXe siècle, du Premier au Second Empire : tapisseries, cartons, maquettes.
En octobre 1804, Napoléon Ier prit la décision de rattacher la manufacture de Beauvais à sa Liste civile (les Gobelins et la Savonnerie depuis mai 1804), ce qui permet à la manufacture de disposer d'un budget annuel et de bénéficier de commandes de la maison impériale. Les principaux artistes furent Louis-Hippolyte Le Bas (1782-1867) et […]
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Revue de presseRéquisitions militaires à Montaut, au cours de a campagne du maréchal Soult dans les Pyrénées-Orientales de juillet 1813 à février 1814.
Quelques éléments chiffrés, recueillis à partir d'un document conservé aux archives municipales de Montaut (Pyrénées-Orientales, France). Atlantica magazine, n. 39, avril 1997, Antoine de Froissard, p.9-12, illustré.
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Revue de presseNapoléon Ier et Murat à l’honneur au Musée de l’Armée
Dans le cadre du réaménagement de la salle Austerlitz, les tableaux représentant d'une part, Joachim Murat, maréchal de l'Empire par le baron François Gérard, vers 1805, et d'autre part Napoléon Ier sur le trône impérial par Jean Auguste Dominique Ingres, en 1806, sont mis en valeur dans cette salle. Le portrait en pied de Joachim […]
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Revue de presseLe père Pierre Marie Desmarest, chef de la police secrète sous le Premier Empire
Intéressante mise au point sur le bras droit de Fouché dans la police secrète. Desmarest, trop souvent surnommé le « père Desmarest », était simple clerc et non prêtre : la police de Napoléon n'était pas faite par des défroqués, comme le note J. Tulard. Revue de l'Institut Napoléon, n° 175, 1997-II, Marguerite Parenteau, p.7-22.