Articles : 1380
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ArticleLa Cour Impériale (deuxième partie) : Le Grand Veneur
Le maréchal prince Berthier, Grand veneur, a la haute main sur la vénerie, c'est-à-dire « tout ce qui a rapport aux chasses à courre et à tir dans les bois et forêts du domaine de la Couronne ». Sans entrer dans le détail de ses multiples fonctions et attributions, précisons qu'il surveille les aménagements des […]
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ArticleLes responsabilités de la défaite militaire de 1870
Napoléon III a régné sur la France de 1848 à 1870, pendant près de 22 années consécutives durant lesquelles il a exercé le commandement suprême des armées de Terre et de Mer. Notre armée de Terre était tenue, jusqu’en 1866, pour la plus forte d’Europe. Elle avait achevé la conquête de l’Algérie, battu l’armée russe […]
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ArticleLes bancs du Roi de Rome
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ArticleCambacérès« Cambacérès, un grand jurisconsulte de l’Empire » Dans un essai paru en 2004, Robert Badinter expliquait en peu de mots par quel miracle naquit le Code civil en 1804 : « Toute entreprise de codification, pour réussir, requiert trois conditions : un moment favorable,…
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ArticleCentenaire de la mort du Prince Impérial
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ArticleStéphanie de Beauharnais, fille adoptive de Napoléon et Grande Duchesse de Bade. Perrin, 1977. 8° 36
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ArticleLe général comte Du Taillis – dernier gouverneur de Torgau pendant le siège de 1813
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ArticleDocument > La dernière lettre du Prince Impérial, lettre à sa mère en date du 1er juin 1879
Entre toutes les précieuses reliques que renferment les archives de S.A.I. le Prince Napoléon, voici assurément l’une des plus émouvantes. Cette lettre, le Prince Impérial l’a griffonnée sur ses genoux, précipitamment, à Koppie Allein, camp du bush sud-africain, lorsqu’il a su qu’un correspondant de guerre allait regagner Durban et qu’il pourrait emporter du courrier. Dans […]
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ArticleNouvelle histoire de la Marine. Tome 1 : De la rame à la voile. Lepante, Trafalgar. Perrin, 1977.
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ArticleLa guerre d’Espagne. De Bayonne à Baylen
À Sainte-Hélène, Napoléon confie à Las Cases : « cette malheureuse guerre d'Espagne a été une véritable plaie, la cause première des malheurs de la France », et l'empereur déchu ajoutait : « j'embarquai fort mal toute cette affaire, je le confesse ; l'immoralité dut se montrer par trop patente, l'injustice par trop cynique, et le tout demeure […]