Iconographie

Bas-relief de la Colonne de la Grande Armée à Boulogne-sur-Mer

Vue du palais de la Légion d'Honneur côté quai d'Orsay. Construit entre 1782 et 1787 pour le prince Frédéric de Salm-Kybourg par l'architecte Rousseau, cet édifice fut acheté par le premier grand chancelier de la Légion d'honneur, Lacépede. Incendié sous la Commune en 1871, il fut reconstruit grâce à une souscription lancée parmi les légionnaires et les […]

Cette estampe allégorique célèbre la pacification générale. Bonaparte au centre est couronné par la Victoire qui ramène l'Abondance tandis que le Temps ferme les portes du Temple de Janus et que les souverains de l'Europe viennent recevoir des mains du Premier Consul le rameau de la paix. De gauche à droite : le Grand Turc, le […]

Cette estampe célèbre l'oeuvre de Bonaparte « Pacificateur », depuis le traité de Luneville (9 février 1801) jusqu'à la Paix d'Amiens (25 mars 1802). Le Premier Consul, debout dans la cour des Tuileries illuminées, remet l'épée dans le fourreau devant une foule qui l'acclame.  Cette gravure à l'eau-forte et au pointillé est signée d'Alexis Chataignier. Il en existe des épreuves […]

Commandé à Gérard en 1805 pour l'hôtel du ministre des Relations extérieures, ce tableau représentant Napoléon en « grand habillement » du Sacre a fait l'objet d'un nombre important de répliques destinées à prendre place dans l'appartement d'honneur de chaque résidence politique à l'étranger, diplomatique ou consulaire.  

cette toile permet d'admirer deux des « honneurs de l'Empereur » portés lors du Sacre et aujourd'hui détruits : le collier de la Légion d'honneur fondu pour être remplacé par un nouveau modèle et la couronne du Sacre fondue sous la Restauration.

Tableau réalisé après l’abandon du portrait entrepris par David. Comme son maître, Gérard représente la belle Juliette Récamier en robe blanche, pieds nus, dans une pose alanguie, mais la scène est plus mièvre, située dans une salle de bain à l’antique reconnaissable par les évacuations dans le marbre. Madame Récamier adopte ici une attitude plus coquette, sans doute […]

Commandé à l’origine pour la Chambre du Conseil d’Etat, ce tapis fut dessiné en 1806 par l’architecte François Debret (1783-1850), élève de Charles Percier et exécuté par la manufacture de la Savonnerie. Une réplique en fut effectuée entre 1807 et 1809 et offerte à Frédéric-Auguste, roi de Saxe, lors de sa visite à Paris le […]

Revue du Souvenir napoléonien n°406, p.45

Revue du Souvenir Napoléonien n°406, p. 40