Pays : États-Unis et Royaume-Uni
Technique : Couleur
Durée : 150′ (version originale) ; 270′ (version longue, sur Apple TV+)
Production : Mark Huffam, Ridley Scott et Kevin J. Walsh
Scénario : David Scarpa
Musique : Martin Phipps
Directeur de la photographie : Dariusz Wolski
Résumé : Jeune officier, Napoléon Bonaparte assiste à l’exécution de Marie-Antoinette en 1793. Chargé par Paul Barras de prendre Toulon, occupé par les Britanniques, il mène à bien cette mission et devient général de brigade. En octobre 1795, Bonaparte réprime une insurrection royaliste. Il rencontre Joséphine de Beauharnais, libérée de prison après la chute de Robespierre, et l’épouse en mars 1796. Il part en Égypte, y remporte la bataille des Pyramides, mais rentre en France après avoir appris l’infidélité de son épouse. Il est la figure de proue du coup d’État du 18 Brumaire, et devient Premier Consul en 1799. Cinq ans plus tard, il est couronné empereur des Français par le pape. Le 2 décembre 1805, il remporte la bataille d’Austerlitz contre les Autrichiens et les Russes. Mais sur le plan privé, il n’a toujours pas d’héritier pour lui succéder. Il se résigne à divorcer de Joséphine en 1809, épouse Marie-Louise d’Autriche qui lui donne un enfant, mais demeure amoureux de sa première épouse. En 1812, l’Empereur envahit la Russie : après la victoire de la Moskova, il entre à Moscou, vidée de ses habitants. Après que la ville a été incendiée par les Russes, il doit battre en retraite en plein hiver. En 1814, il abdique, est exilé à l’île d’Elbe. Apprenant que Joséphine est malade, il rentre en France et revient au pouvoir, mais apprend le décès de son ex-épouse. Après la défaite de Waterloo, il est exilé sur l’île de Sainte-Hélène, où il meurt en 1821.
Interprétation : Joaquin Phoenix (Napoléon Bonaparte), Vanessa Kirby (Joséphine de Beauharnais), Paul Barras (Tahar Rahim), Ben Miles (Armand de Caulaincourt), Youssef Kerkour (Louis Nicolas Davout), Édouard Philipponnat (Alexandre Ier), Rupert Everett (Arthur Wellesley, duc de Wellington), Paul Rhys (Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord)
Critique :