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C'est au nord du Bas-Rhin, à Wissembourg, que les Allemands connaissent leur première victoire, et que meurt Abel Douay, le premier général français tombé pendant la guerre de 1870. Tradition Magazine, mars 2000, n° 154, Ronald Zins, p. 36-40.

Historique de l'organisation de la fourniture aux armées napoléoniennes. Tradition Magazine, mars 2000, n° 154, Alain Pigeard, p. 11-15.

Bien qu'inscrite en 1804 par les  » bonnes villes  » au même titre que Paris ou Lyon, Marseille connut une période politique mouvementée sous le Premier Empire. Le conflit se focalisa notamment autour de la question de la perte, en 1794 puis confirmée par le Premier Consul, de la franchise du commerce portuaire. Baisse du […]

Créée le 17 ventôse an VIII (8 mars 1800), l'armée de réserve de Dijon ne fut dirigée que par Bonaprte. Cet article illustré présente la composition de cette structure, ainsi que sa formation, son arrivée et son intégration à la vie dijonnaise. La Revue Napoléon, février 2000, n°1, Vincent Bourgeot, p. 60-67.

La création des préfets, par la loi Chaptal du 28 pluviôse an VIII (17 février 1800), est sans doute l'un des actes administratifs les plus importants de notre histoire institutionnelle. Il s'inscrit dans la continuité centralisatrice des quarante rois qui ont fait la France par agrandissements successifs du domaine royal. Le Consulat et l'Empire n'échappent […]

La loi du 17 germinal an II (6 avril 1794) supprime les banques, mais sous le Directoire, les banquiers, nombreux dans le Conseil des Cinq-Cents, arrivent à faire voter l'abrogation de cette loi : ainsi la Caisse des Comptes Courants est créée le 11 messidor an IV (29 juin 1796). Une lettre datée du 16 […]

Le 12 messidor an VI (30 juin 1798), Gabriel-Julien Ouvrard devient le fournissuer des subsistances à l'Armée, associé avec Claude Blanchard. Face à la faillite du Directoire, Bonaparte sollicite les banquiers, qui répondent de mauvaise grâce à cette demande. Pour « faire un exemple », Bonaparte décide de faire arrêter Ouvrard le 7 pluviôse an VIII (26 […]

Ou Kléber le magnifique, s'exclamant « Soldats ! On ne répond à de telles insolences que par des victoires ; préparez-vous à combattre ». La double trahison anglaise et turque aux accords d'El-Arish du 24 janvier 1800, débouche donc sur la bataille d'Héliopolis le 20 mars 1800. Elle se solde par une victoire militaire mais également politique […]

Rappel des relations complexes entre les écrivains du Consulat et du Premier Empire, et Napoléon, homme de culture mais également homme de pouvoir ayant compris (et utilisé) la puissance de l'écrit à des fins politiques. La Revue Napoléon, février 2000, n°1, Arnaud Daniel, p. 39-40.

Née sous la Révolution française, la Garde des Consuls est organisée par un arrêté du 7 frimaire an VIII (28 novembre 1799), puis connaît des modifications jusqu'en 1804. Elle s'est particulièrement illustrée au cours de la bataille de Marengo. La Revue Napoléon, février 2000, n°1, Alain Pigeard, p. 30-38, intéressantes illustrations.