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Par décret du 2 avril 1794 (13 germinal an II) le Comité de Salut Public crée une compagnie des aérostiers militaires, chargée de la surveillance et du renseignement par voie aérienne et le 31 octobre 1794 (10 brumaire an III) une école d'aérostiers dont le premier directeur est Nicolas-Jacques Conté. Embarqués pour l'Expédition d'Egypte autour […]

Synthèse de l'évolution de la banque française depuis son développement (presque sa création) sous le Second Empire jusqu'à nos jours. Par un grand spécialiste du sujet. L'Histoire, n° 242, avril 2000, Alain Plessis, p. 62-69.

Récemment rénovée, Apsley House, ancienne demeure du duc de Wellington (1769-1852), présente les collections de tableaux et d'objets d'art du grand adversaire de Napoléon, dans un cadre respectant au plus près celui que connut son hôte. Des oeuvres de Vélasquez, Murillo, Bruegher, Rubens, Corrège, témoignent d'un goût artistique sûr de la part de cet homme […]

Dès fin décembre 1799, les assemblées constitutionnelles, Sénat, Conseil d'Etat, Tribunat et Corps législatif, sont mises en place. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Alain Pigeard, p. 76-79

Né en Alsace en 1753, Jean-Baptiste Kléber se destinait à l'architecture. Après un début de carrière dans les armées de la Révolution, il devint un héros de l'expédtion de Syrie et d'Egypte et meurt assassiné le 14 juin 1800 à Damas. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Daniel Cavalli, p. 70-75

L'histoire a surtout retenu sa mort glorieuse à Marengo et l'arrivée de ses divisions qui retournent une situation compromise. Mort à trente ans, ce jeune général a fait preuve tout au long de sa carrière, non seulement de grands talents militaires, mais également d'une intelligence politique exceptionnelle. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Vincent […]

Au soir de la bataille de Marengo, le général Mélas s'apprête à négocier. Après une rencontre avec le général en chef Bonaparte, c'est avec Berthier qu'il signe le 15 juin 1800 la convention dite d'Alexandrie : sortie de la ville avec les honneurs, évacuation progressive de l'Italie qui passe toute entière aux mains des Français. […]

Au mois de mai 1800, les habitants de Martigny et de l'Entremont voient passer Napoléon Bonaparte, Premier Consul, et l'armée de réserve se rendant en Italie pour prendre à revers l'armée autrichienne. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Léonard-Pierre Closuit, p. 23-29

On connaît l'admiration que Stendhal avait pour Napoléon et les très belles pages sur Waterloo dans son chef d'oeuvre « La Chartreuse de Parme ». On connaît moins sa vie sous le Consulat et l'Empire. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Arnaud Daniel, p. 30-32

Alors qu'une partie de l'armée de réserve progresse depuis le col du Grand-Saint-Bernard, Berthier se trouve bloqué face au commandant autrichien Bernkopf retranché avec ses hommes dans le petit fort de Bard : si ces derniers ne capitulent pas, le corps d'artillerie français ne peut pas avancer plus avant et est bloqué dans la neige […]