Articles : 1415
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ArticlePages napoléoniennes : Le vrai patineur, Delespinasse, 1813
Si de nos jours les enfants (et plus grands) patinent sur le parvis de l'Hôtel de Ville ou la Tour Eiffel, les Parisiens du Premier Empire allaient soit sur les prairies inondées et gelées du lieu-dit La Glacière (alors située sur le territoire de Gentilly) ou sur le canal de l'Arsenal. C'était un sport réservé aux […]
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ArticleDocument > Le traité de paix de Presbourg, 26 décembre 1805
S.M. l’Empereur des Français, Roi d’Italie, S.M. l’Empereur d’Allemagne et d’Autriche, également animés du désir de mettre fin aux calamités de la guerre, ont résolu de procéder, sans délai, à la conclusion d’un traité de paix définitif, et ont, en conséquence, nommé pour plénipotentiaires, savoir : S.M. l’Empereur des Français, Roi d’Italie, M. Charles- Maurice […]
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ArticleM. Victor-André Masséna élu président de la Fondation Napoléon le 13 décembre 2005
Après dix-huit années d'exercice, le baron Gourgaud a souhaité être déchargé des fonctions de président de la Fondation Napoléon, tout en restant administrateur. Il a en conséquence présenté sa démission au conseil d'administration du 13 décembre 2005. Le conseil d'administration a élu aux fonctions de président M. Victor-André Masséna, prince d'Essling, duc de Rivoli. Administrateur […]
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ArticleLa bataille de la Moskowa par le général baron Lejeune
[Note de l'éd. du site napoleon.org : afin de vous permettre de profiter pleinement de l'analyse de « La bataille de la Moskowa » de Lejeune, nous avons créé un premier lien vers le tableau général, puis des liens vers des détails de ce tableau. Pendant la lecture de l'article, nous vous conseillons de garder ouverte la fenêtre de […]
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Article30e Bulletin de la Grande Armée (12 frimaire an XIV – 3 décembre 1805)
Source : Les bulletins de la Grande Armée : précédés et accompagnés des rapports sur les armées françaises de 1792 à 1815 : avec des notes historiques et des notes biographiques renfermant des documents entièrement inédits et l'histoire militaire de Napoléon / par A. Pascal. – Paris : E. Prieur : J. Dumaine, 1844, 6 […]
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ArticleDocument > Proclamation au bivouac le 10 frimaire an XIV (1er décembre 1805)
Source : Les bulletins de la Grande Armée : précédés et accompagnés des rapports sur les armées françaises de 1792 à 1815 : avec des notes historiques et des notes biographiques renfermant des documents entièrement inédits et l’histoire militaire de Napoléon / par A. Pascal. – Paris : E. Prieur : J. Dumaine, 1844, 6 […]
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ArticlePages napoléoniennes : La relation officielle de la bataille d’Austerlitz, d’après les instructions de Napoléon
Historique Dès le Consulat, Napoléon Bonaparte chargea le Dépôt général de la guerre de rédiger l'histoire des campagnes. Le Consul, puis l'Empereur donnait les premières instructions, puis corrigeait les épreuves des rédacteurs. Il s'agissait de créer une oeuvre d'histoire militaire comparable aux relations de Berthier sur l'Égypte et Marengo, accompagnée d'un corpus de cartes. La […]
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ArticlePages napoléoniennes : L’Europe et la Révolution, d’Albert Sorel (Paris : Plon, 1885-1904)
Œuvre essentielle à la compréhension des périodes révolutionnaire et du Premier Empire, « L'Europe et la Révolution française » montre la continuité profonde de la politique extérieure de la France entre l'Ancien Régime et les périodes suivantes. Ce n'est pas l'idéologie révolutionnaire qui a inspiré les guerres de 1792 à 1815, mais la politique traditionnelle de défense […]
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ArticleCompte rendu du vice-amiral Villeneuve sur la bataille de Trafalgar du 21 octobre 1805
Le vice-amiral Villeneuve rédigea ce compte rendu au ministre de la Marine, Decrès, alors qu’il était prisonnier de guerre à bord de la frégate anglaise Euryalus, le 15 novembre. Cette lettre fut envoyée à Paris peu après son arrivée en Angleterre. Villeneuve fut ultérieurement libéré sur parole en avril 1806. Rentré en France, il se suicida à Rennes […]
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ArticleBicentenaires : un bien pâle « Soleil d’Austerlitz »
Il y a plusieurs écoles en matière de commémorations. Celle qui domine aujourd'hui paraît préférer des choix politiquement rentables ou permettant une séance d'auto-flagellation sur tel ou tel épisode malheureux de notre histoire. On ne s'étonnera donc pas de la discrétion avec laquelle l'État a traité et continue à traiter les bicentenaires napoléoniens, laissant […]