Revues de presse

En 1800, Bonaparte nomme le général Moreau à la tête des armées du Rhin et d'Elvétie, deux armées au centre de son plan de campagne contre les armées autrichiennes en Italie et en Allemagne. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Frédéric Bey, p. 4-18

Ses cendres reposent dans la crypte du Panthéon, son coeur dans la chapelle Saint-Grégoire aux Invalides ; il figure en bonne place sur le bas-relief du fronton du Panthéon. Né (en 1743) Théophile-Malo de Corret, il est autorisé en 1780 à prendre le nom de son prestigieux aïeul Henri de La Tour d'Auvergne, maréchal de […]

Au mois de mai 1800, les habitants de Martigny et de l'Entremont voient passer Napoléon Bonaparte, Premier Consul, et l'armée de réserve se rendant en Italie pour prendre à revers l'armée autrichienne. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Léonard-Pierre Closuit, p. 23-29

On connaît l'admiration que Stendhal avait pour Napoléon et les très belles pages sur Waterloo dans son chef d'oeuvre « La Chartreuse de Parme ». On connaît moins sa vie sous le Consulat et l'Empire. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Arnaud Daniel, p. 30-32

Alors qu'une partie de l'armée de réserve progresse depuis le col du Grand-Saint-Bernard, Berthier se trouve bloqué face au commandant autrichien Bernkopf retranché avec ses hommes dans le petit fort de Bard : si ces derniers ne capitulent pas, le corps d'artillerie français ne peut pas avancer plus avant et est bloqué dans la neige […]

Grâce à une énergie incomparable, Masséna et ses 14 000 hommes allaient résister à 60 000 Autrichiens bien armés et bien approvisionnés, alors qu'eux-mêmes souffraient de la faim : un fait d'armes capital, qui permet de bloquer une partie de l'armée autrichienne en Ligurie. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Vincent Rolin, p. 38-45

Malgré le manque de cavalerie et la faiblesse de l'artillerie, Lannes remporte une victoire importante à Montebello, après plus de 11 heures d'engagement. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Jean Tranié, p. 46-50

La bataille de Marengo va se jouer dans un cadre assez réduit, sur une plaine de 3 kilomètres du nord au sud et de 6 kilomètres de l'ouest à l'est, situé entre Tortone et Alessandrie. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Olivier Juaneda, p. 51-62, cartes

Au soir de la bataille de Marengo, le général Mélas s'apprête à négocier. Après une rencontre avec le général en chef Bonaparte, c'est avec Berthier qu'il signe le 15 juin 1800 la convention dite d'Alexandrie : sortie de la ville avec les honneurs, évacuation progressive de l'Italie qui passe toute entière aux mains des Français. […]

L'histoire a surtout retenu sa mort glorieuse à Marengo et l'arrivée de ses divisions qui retournent une situation compromise. Mort à trente ans, ce jeune général a fait preuve tout au long de sa carrière, non seulement de grands talents militaires, mais également d'une intelligence politique exceptionnelle. La Revue Napoléon, n° 2, avril-mai-juin 2000, Vincent […]