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ArticleUne chronique de Michel Kerautret : le bicentenaire de la mort du prince EugèneIl y a deux cents ans, dans la nuit du 20 au 21 février 1824, le prince Eugène s’éteignait à Munich, capitale du royaume de Bavière, à l’âge de 42 ans. L’événement, bien qu’attendu depuis quelques jours, suscita une vive émotion à la cour et…
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ArticleUne chronique d’Yves Bruley : La comtesse de Ségur et le professeur MicheletPar une étrange coïncidence, la mort a emporté le même jour, 9 février 1874, il y a cent cinquante ans, deux auteurs célèbres que tout avait séparé avant le trépas : la comtesse de Ségur, célèbre romancière pour enfants, et l’immense historien Jules Michelet. Saisissons l’occasion…
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ArticleUne chronique de Florence de Baudus : « Caulaincourt, fidèle à l’empereur mais dans la douleur »Seul militaire nommé dans le film de Ridley Scott, Armand de Caulaincourt y fait deux brèves apparitions, sans qu’on apprenne quoi que ce soit de sa relation à Napoléon. Or cet officier fut un des plus proches de l’Empereur et mit son honneur à le…
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ArticleLe code de procédure civile et la poursuite de la remise en ordre du droit françaisDu 24 avril au 9 mai 1806 furent promulguées plusieurs lois et décrets qui faisaient entrer dans l’ordre juridique un nouveau Code de procédure civile. Le précédent datait de l’époque de la Constituante et s’inspirait des procédures de l’Ancien Régime, en dépit de la réorganisation…
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ArticleCambacérès et les trois projets de Code civil de la RévolutionÀ Sainte-Hélène, Napoléon dit de celui qui fut, pendant quinze ans, l’un de ses principaux bras droits, qu’il avait été « notre meilleur légiste ». Il est vrai que le nom de Cambacérès fait immédiatement penser au Code civil de 1804 : le Second consul…
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ArticleLa première conspiration du général Malet (mai-juin 1808)On pense parfois qu’après les petites et grandes conspirations du Consulat, Napoléon put dormir sur ses deux oreilles et que le régime d’autorité mis en place avec l’Empire (et surtout après 1807) tua toute opposition. Évidemment, il n’en est rien. La conspiration de 1808 permet,…
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ArticleL’exécution du duc d’EnghienLe 15 avril 1821, Napoléon ajouta un codicille à son testament : « J’ai fait arrêter et juger le duc d’Enghien parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l’intérêt et à l’honneur du peuple français, lorsque le comte d’Artois entretenait […] soixante assassins dans Paris.…
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ArticleL’art de la natationL’édition des Mémoires du colonel Combe aux éditions Bernard Giovanangeli (2006) permet aux lecteurs, entre autres sujets, de suivre la formation d’un collégien. On y apprend entre autre que la natation était enseignée aux jeunes nobles ou bourgeois au même titre que l’équitation, l’escrime et…
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ArticleQuand Napoléon Ier modernisait Paris : les premiers abattoirs publicsLes boucheries. Elles ne se font pas hors de la ville, ni dans les extrémités. Elles sont au milieu. Le sang ruisselle dans les rues, il se caille sous vos pieds, et vos souliers en sont rougis. (Sébastien Mercier, Tableau de Paris, 1783).
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ArticleUne chronique de Michel Craplet : « Waterloo, morne ivresse »J’ai découvert Stendhal comme un lycéen studieux des années 1960 et je l’ai redécouvert en alcoologue, lorsque reprenant La Chartreuse [1], peut-être avec un petit verre de cet excellent élixir, j’ai lu autrement les aventures du héros, parti rejoindre l’armée de l’Empereur sur un mauvais cheval…